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L'ART DE VIVRE ET DE VIEILLIR SELON DIEU !
 
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 Comment accepter de vieillir ?

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Josy
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Josy


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MessageSujet: Comment accepter de vieillir ?   Comment accepter de vieillir ? Icon_minitimeJeu 7 Juil 2011 - 17:34

Comment accepter de vieillir ? Age-co10 Comment accepter de vieillir ?

Michée 8.6 « On t’a dit ô homme, ce qui est bien et ce que l’Éternel demande de toi : c’est de faire ce qui est juste, d’aimer la miséricorde et de marcher humblement avec ton Dieu ».

Evangile de Luc 2.29-30 Voici ce que dit le vieillard Siméon lorsqu’il apprend la naissance du Christ : « Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, car mes yeux ont vu ton salut ». On peut aussi dire : « ta consolation ».
Ainsi, Siméon va pouvoir mourir en étant consolé. Il va mourir en étant guéri. Nous y reviendrons.

Vous avez deux mains qui peuvent l’une et l’autre vous être utiles
Si vous vous opposez à l’un de vos prochains avec l’une de vos deux mains, crispée par la douleur et la rancune, gardez l’autre main secrètement tendue vers lui, parce que, lui aussi, a peut-être une main secrètement tendue vers vous.

Si vous n’avez pas suffisamment de foi pour joindre vos deux mains dans la prière, ne vous inquiétez pas. Gardez seulement une main tendue vers le ciel en signe d’appel. Sachez-le, on peut avoir foi avec peu de foi et espérer avec peu d’espérance.

Si la main dont vous vous servez pour travailler s’engourdit dans la fatigue, la vieillesse ou la maladie, ne vous inquiétez pas car vous avez une deuxième main avec laquelle vous pouvez continuer à caresser, à aimer et à donner.

Oui, même si vous vous sentez de plus en plus inutile, ne vous inquiétez pas. Même si la seule chose que vous pouvez faire pour votre prochain, c’est de l’aimer, de le consoler et de l’embrasser, vous lui êtes utile. Oui, en le faisant, vous êtes utile.

Et si, un jour, vos deux mains, l’une et l’autre, deviennent sans force et sans chaleur, si, après la première, votre deuxième main s’engourdit elle aussi, même alors, ne vous inquiétez pas. Sachez que de là-haut, le Père des miséricordes viendra mettre sa main sur vos deux mains, sans rien vous demander, pour les recueillir et les soutenir.

Aujourd’hui, c’est le premier jour de ta vie.
La vie est une chance, saisis-la.

La vie est un défi, fais lui face.

La vie est un devoir, accomplis-le.

La vie est précieuse, prends en soin.
La vie est un mystère, respecte-le.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est quelquefois une tragédie, prends-la à bras le corps.

La vie est un cadeau, ne l’oublie pas.
(d’après l’ Hymne à la vie – Mère Teresa).

Comment accepter de vieillir ? Peut-on vraiment accepter de vieillir ? Vous le pensez bien, la réponse n’est pas simple.

Dans l’une de ses chansons, Jacques Brel dit : « Mourir, cela n’est rien. Mourir, la belle affaire. Mais vieillir... ô vieillir... ».
C’est vrai, la vieillesse fait peur, et beaucoup plus encore que la mort. Mais, voyez-vous, à mon avis, cette peur de vieillir, on l’éprouve surtout lorsque l’on a 40, 50 ou 60 ans. A partir d’un certain âge, cela passe, on accepte plus facilement la vieillesse.

Je vais vous dire pourquoi j’ai cette impression. Dans ma vie de pasteur, j’ai connu beaucoup de personnes qui, à 60 ou 65 ans m’ont dit : « quand je deviendrai trop malade, je demanderai qu’on m’aide à mourir, pour en finir plus rapidement ». Mais, voyez-vous, lorsque je retrouvais ces mêmes personnes quinze ans plus tard, même grabataires sur un lit d’hôpital, elles ne parlaient plus de mourir. Pourquoi ? Avaient-elles retrouvé le goût de la vie ? C’est tout à fait possible.
Oui, au fond, « comment accepter de vieillir ? », c’est plutôt une question qui angoisse surtout les 40-60 ans.
De fait, j’ai souvent rencontré des personnes âgées qui avaient tout à fait accepté de vieillir et qui m’ont donné des leçons de savoir-vivre, au sens le plus profond de ce terme. Oui, elles savaient vivre, et même bien vivre leur vieillesse.

Je vais vous donner trois exemples. D’abord celui d’une vieille dame, très seule, mais très avenante. Ses enfants venaient rarement la voir, mais elle ne s’en plaignait pas.
Je lui ai dit :
- « Mais vous ne vous ennuyez pas quand même un peu ? »
Et elle m’a répondu :
- « non, pas du tout. Maintenant, j’ai plus de temps pour ce qui compte vraiment : je rêve, je repense à mon enfance, j’écoute les enfants qui jouent dans la cour de récréation d’à côté, je pense à mes petits-enfants, à leur vie, à leurs tracas, à leurs projets. Et puis aussi, je regarde autour de moi. Tenez, vous voyez cet arbre, eh bien, tous les matins, je le regarde, je le regarde vraiment en l’aimant de tous mes yeux. Bien sûr, c’est vrai, il y des choses que je ne peux plus faire. Mais ce que j’ai perdu en activités diverses, je l’ai gagné en vie intérieure. D’ailleurs, l’apôtre Paul l’a bien dit :
« Au fur et à mesure que notre homme extérieur s’en va en ruine, l’homme intérieur se renouvelle de jour en jour » (2 Cor. 4,16). Et c’est bien vrai. »
Je lui ai alors demandé :
- « Mais, dites-moi, c’est naturel chez vous d’avoir l’esprit si positif ? »
Et elle m’a répondu :
- « Oh que non ! Pas du tout ! C’est une décision, c’est un parti pris. Un jour, j’ai entendu cette petite phrase à la radio : « Aujourd’hui, mon ami, ne l’oublie pas, c’est le premier jour de ta vie ». Cela m’a surprise, mais au fond, c’est tout à fait exact. Aujourd’hui, c’est le premier jour de la vie qui me reste ; et il n’y a plus de temps à perdre. J’ai décidé de m’attacher à l’essentiel. Et l’essentiel, c’est ce qui rend heureux, ou les autres, ou moi. C’est vrai, maintenant, je profite beaucoup plus de la vie qu’avant. Quand je rencontre des jeunes, je le leur dis : A quatre vingt ans, même si de temps en temps on trouve le temps long, on est plus heureux qu’à trente-cinq, avec tous les soucis et les frustrations qu’on a à cet âge. Vous savez, les jeunes, ils n’ont vraiment pas la vie facile. »
C’est sûr, cette vieille dame ne manquait pas de savoir vivre.

Je pense aussi à une autre rencontre, celle d’un homme de 75 ans environ. Il souffrait beaucoup d’une insuffisance respiratoire. Je lui avais demandé :
- « Comment acceptez-vous de vieillir ? »
Et il m’avait répondu :
- « Chaque matin, quand je me lève, je me dis : A la grâce de Dieu, Amen à la journée qui vient, quelle qu’elle soit. Et ensuite, je prends les choses comme elles viennent, ou du moins j’essaie ».
Je lui ai alors dit, peut-être un peu bêtement :
- « Vous avez appris à vous résigner ? »
Mais il me répondit avec vivacité :
- « Non, pas du tout. Pour moi, accepter de supporter la journée qui vient, c’est comme un défi. Ce n’est pas facile. Pour y arriver, je n’ai trouvé qu’une seule méthode : me forcer à m’intéresser à autre chose qu’à moi. Et pour cela, je me suis fixé trois règles : tous les matins, écouter les informations et aussi une autre émission de radio. Ensuite écrire sur un cahier le résumé de ce que j’ai entendu. Et puis après, penser aux autres. Ça, c’est le plus dur, mais j’ai trouvé un moyen : je prie pour eux en expliquant bien les choses au Bon Dieu. Quelquefois, je lui parle des petits noirs du Mali, quelquefois de mon petit-fils Henri qui fait un voyage en Australie et, assez souvent, je lui parle de la politique de Sarkozy. Vous voyez, je ratisse large. Et pendant ce temps-là, je ne pense pas à mes petits soucis. »

En écoutant ce monsieur, je me suis souvenu de ce que m’avait dit un vieux pasteur de mes amis :
- « Vieillir, ce n’est pas une épreuve, mais c’est un défi ; ce défi, c’est de pouvoir rester curieux, oui, curieux, c’est le mot, et même passionné. »
..... SUITE ci-dessous

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MessageSujet: Suite de: Comment accepter de vieillir ?   Comment accepter de vieillir ? Icon_minitimeJeu 7 Juil 2011 - 17:50

Comment accepter de vieillir ? Age-co11 SUITE: ..... Je pense également à une troisième personne. Mais celle-ci, c’est Marie de Hennezel, une psychologue très connue, qui en parle dans l’un de ses livres.
Il s’agissait d’un très vieil homme, tout à fait grabataire et qu’on devait changer plusieurs fois par jour. Il lui a dit un soir :
- « Cela peut vous paraître étonnant, mais j’éprouve du plaisir à ce que l’on me mette du linge propre et qu’on me masse les jambes. J’ai l’impression de retrouver le plaisir d’un bébé à qui l’on donne son bain ! Et lorsqu’on me remet dans mon lit, je demande qu’on approche le plus possible la couverture de mon visage. Je veux sentir la laine avec mes lèvres, j’aime la caresser et qu’elle me caresse. Et il ajouta, je m’en souviendrai toujours : ce qu’il y a de bien dans la vie, c’est qu’on a du plaisir et des plaisirs jusqu’au bout. Et c’est ça le cadeau que Dieu fait aux personnes âgées. »

Je voudrais que les 40 - 60 ans le comprennent et le croient : vieillir n’est pas aussi difficile qu’on le pense. Et, si l’on en croit les trois personnes dont je vous ai parlé, la recette du bien vieillir, c’est celle de ce petit cocktail : d’abord un peu d’humour et de détachement ; ensuite un faible pour les petits plaisirs et les joies toutes simples ; et tertio, un effort quotidien pour s’intéresser à autre chose qu’à soi.

Mais je voudrais ajouter ceci : quand on avance en âge, il faut aussi se préparer à mourir, et, si possible, à mourir guéri, oui, je le dis bien, à mourir en étant guéri.
Mourir guéri, l’expression peut vous surprendre. Guéri de quoi ? Je dirai : guéri de ce qui vous a fait du mal dans la vie, guéri des amertumes et des querelles de la vie.
Oui, mourir guéri, c’est mourir en ayant su mettre au placard le bâton des querelles et aussi l’amertume des remords et des regrets.
Jésus est mort guéri parce que, avant sa mort, il a su se mettre en paix avec tous ceux qui lui avaient fait du mal. Il a su dire :
- « Père, pardonne leur, car ils ne savent ce qu’ils font » (Luc 23,34).
Et ensuite, il a seulement eu devant ses yeux l’image de deux êtres qui lui étaient particulièrement chers : Marie, sa mère et Jean, son disciple bien-aimé. A sa mère, il dit
- « Femme, voici ton fils »
et à Jean :
- « Voici ta mère » (Jean 19,26).
Il les confie l’un à l’autre et il meurt en paix. Il meurt guéri.

Pourrions-nous faire de même ? Oui, pourrions-nous pardonner, oublier ou du moins passer l’éponge sur le passé et le passif. Et garder seulement dans notre mémoire le sourire de ceux que nous avons aimés. Voyez-vous,
Il y a un temps pour tout, comme le dit le livre de l’Ecclésiaste. Et le temps de la vieillesse n’est pas forcément le pire. Après le temps des combats, des querelles idiotes et des blessures d’amour propre, la vieillesse peut être le temps des guérisons, des réconciliations même tardives, et aussi d’une certaine forme de louange. Oui, la vieillesse est un temps pour dire simplement :
- « Amen et merci pour la vie que nous avons vécue ».

C’est sûr, par certains côtés, vieillir a du bon. Quand on est vieux, on peut enfin être sans prétention. On a enfin le droit d’être ce que l’on est. Et on a même le droit d’avoir des défauts ! Oui, vieillir nous conduit, presque naturellement, à une forme de détachement et de lâcher prise. On s’accommode de ce que l’on est, et même de ce que l’on est devenu. On accepte les choses comme elles sont. On s’en remet à Dieu, en se disant simplement :
- « Mon ami, pour tes dernières années, "confie à Dieu ta route, Dieu sait ce qu’il te faut." »

Nous l’avons lu dans la Bible, le vieillard Siméon, en apprenant la naissance du Christ, dit qu’il va mourir consolé. Nous aussi, nous aspirons tous à une forme de consolation. Le poète Christian Bobin dit que ce que nous désirons le plus, ce n’est pas tant d’être pardonnés que d’être consolés.
Pour Siméon, celui qui peut nous consoler, c’est le Christ. Oui, le Christ est le Consolateur. Il dit à chacun d’entre nous :
- « Sois consolé de la vie que tu as vécue. Quelle qu’ait été ta vie, à aucun moment tu n’as été séparé de la grâce, de la miséricorde, de la tendresse de Dieu. Tu peux te réconcilier avec la vie que tu as vécue. Sois en paix, ma grâce te suffit.
C’est vrai, lorsque l’on est en paix avec sa vie, ce n’est pas une affaire de mourir. On peut mourir guéri.

Mais je ne veux pas éluder un point qui nous inquiète : Après la mort, qu’est ce qu’il y a ?
Lorsqu’on me le demande, j’aime à citer ce texte du pasteur Charles Wagner qui desservait jadis une paroisse de Paris. Ce texte, il l’a écrit quelques jours avant de mourir, avant de s’endormir, selon son expression, sur la poitrine de Dieu.
Le voici :
Quand je dormirai du sommeil qu’on nomme la mort,
c’est dans ton sein, ô mon Père, que j’aurai ma couchette.
Tes bras me tiendront comme ceux des mères qui soutiennent leurs enfants endormis.
Et tu veilleras sur ceux que j’aime et que j’aurai laissés...
Tu feras neiger des flocons tout blancs sur les empreintes de mes pas lorsqu’ils se sont égarés...
Et de moi, tu feras ce que tu voudras.
Ta volonté est mon espérance, mon lendemain, mon au-delà, mon repos et ma sécurité.
Les soleils n’en sont qu’un pâle reflet,
et les plus hautes pensées des hommes n’en sont qu’une lointaine image.
En Toi, je me confie.
A Toi je remets tout
Ce texte est magnifique. Ce que je retiens surtout, c’est cette expression :
- « J’aurai dans ton sein ma couchette. »
Cette couchette évoque le berceau des bébés et aussi la vie que nous avons eue, avant notre naissance, dans le sein de notre mère, dans sa couchette, dans son giron. Et, pour la foi juive, avant de naître en ce monde, nous étions aussi dans la couchette du Dieu éternel. Nous étions, depuis toujours, dans le berceau de la paix de Dieu. Eh bien, voyez-vous, je crois qu’après notre mort, nous serons de nouveau, et pour toujours, dans la couchette de Dieu,. Nous retrouverons l’état que nous avions avant notre naissance. Nous rejoindrons cet état d’apesanteur, de silence, d’éternité, et aussi d’innocence. Nous rejoindrons la paix limpide. Oui, après notre mort, nous serons bercés à jamais dans la plénitude éternelle d’une douceur sans fin.

Pour conclure, j’en reviens à ma question : Comment accepter de vieillir ? A mon sens, la réponse est toute entière dans ce verset du livre de Michée. Il faut
- « Faire ce qui est juste, aimer la miséricorde et marcher humblement avec son Dieu » (Michée 6,8).
Faire ce qui est juste, c’est ne pas chercher à en faire plus qu’on peut en faire, mais c’est continuer à faire ce que l’on peut faire. Oui, à faire ce que l’on peut encore faire, pour s’entre aider, pour lutter contre les injustices et prendre parti pour les plus faibles. Prendre de l’âge, ce n’est pas une raison pour devenir égoïste et indifférent.

Ensuite, deuxième point du prophète Michée :
- « Aimer la miséricorde. »
On pourrait dire aussi l’indulgence et la bonté. Savoir vieillir, c’est savoir devenir indulgent. Une vraie grand’mère, c’est une grand’mère qui a de l’indulgence et qui sait consoler ses petits-enfants, mais aussi les autres. Oui l’indulgence, c’est le cadeau et le sourire que peuvent offrir les personnes âgées.

Enfin, troisième point :
- « Marcher humblement avec son Dieu ». Oui, accueillir avec simplicité et dignité la fuite des jours, et savoir dire simplement ces deux petits mots :
- « Amen et merci ». Amen et merci pour la vie, Amen et merci pour ce jour encore. A Toi, mon Dieu, je me confie ; à Toi je remets tout. Amen.

Alain Houziaux
Extrait d’une prédication à la radio France Culture
dimanche 17 octobre 2010


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