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L'ART DE VIVRE ET DE VIEILLIR SELON DIEU !
 
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 De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu

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Josy
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MessageSujet: Marcher avec le Seigneur   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeVen 3 Nov 2023 - 18:21

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Marche12

Bienheureux ceux qui sont intègres dans leur voie, qui marchent dans la loi de l’Éternel. Psaume 119. 1

Marcher avec le Seigneur

Le psalmiste désirait marcher dans le chemin de Dieu, afin de l’honorer dans toutes ses activités. Ce psaume singulier nous incite à faire de même. Les mots “voie”, “aller” ou “marcher” viennent de la même racine hébraïque et renferment la pensée qu’une bonne instruction conduira à une action droite. En tant que croyants, si nous mettons la Parole de Dieu en pratique, nous serons “irréprochables” – c’est le terme employé pour les sacrifices sans défaut.

En suivant le Seigneur, lui qui n’a jamais failli, nous serons bénis. Le Seigneur Jésus a gardé la loi de Dieu – non pas l’interprétation qu’en faisaient les Juifs – et il n’y a jamais rien ajouté, ni retranché (voir Matthieu 5. 17-19). Certes, les chrétiens ne sont plus sous la Loi pour être sauvés ou pour avoir une règle de vie (voir Actes 13. 39), mais ils suivent le Seigneur Jésus et lui sont soumis, à lui et à sa Parole.

Dans la Bible, nous trouvons beaucoup d’exhortations à la mettre en pratique et d’exemples d’obéissance : “Mettez la Parole en pratique, et ne vous contentez pas de l’écouter, vous séduisant vous-mêmes” (Jacques 1. 22). Abraham, le père de tous les croyants, ordonnait à sa famille de “garder la voie de l’Éternel” (Genèse 18. 19). L’obéissance est ce que Dieu exige si l’on veut être béni ; c’est ce que le psalmiste expérimentait et partageait avec d’autres. Marcher dans la loi morale de Dieu implique des aspects négatifs, se garder de tel ou tel péché (Psaume 1. 1), mais aussi de nombreux aspects positifs (v. 2, 3).

Le Seigneur Jésus nous donne un exemple de soumission et d’humilité quand, le soir avant son arrestation, en compagnie de ses disciples dans la chambre haute, il a lavé leurs pieds juste avant de manger le repas de la Pâque avec eux (Jean 13). Il nous invite à l’imiter dans cette position d’abaissement devant les autres et de soins mutuels, en disant : “Vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres ; c’est un exemple que je vous ai donné : comme je vous ai fait, moi, vous aussi faites de même. En vérité, en vérité, je vous dis : L’esclave n’est pas plus grand que son seigneur” (v. 14-16), et il ajoute : “Si vous savez ces choses, vous êtes bienheureux si vous les faites” (v. 17). Savoir, c’est bien ; faire, c’est mieux. Savoir ce qui est bien ne sera pas suffisant dans notre vie chrétienne ; la mise en pratique est essentielle ! d’après A.E. Bouter★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.    

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MessageSujet: Elle mangea et se rassasia, et elle garda le reste.   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeVen 3 Nov 2023 - 7:11

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Roseet11

Elle mangea et se rassasia, et elle garda le reste.{Ru 2:14}

A quelque moment que ce soit nous sommes privilégiés de manger le pain que Jésus donne, nous sommes comme Ruth, satisfaits avec le plein et doux repas. Quand Jésus est l’hôte, aucun invité ne s’en va à vide de la table. Notre tête est satisfaite avec la précieuse vérité que Christ révèle ; notre cœur est content avec Jésus, comme les deux sont l’objet de tendre affection ; notre espérance est satisfaite, car qui avons nous au ciel d’autre que Jésus ? Et notre désir est satisfait. Car que pouvons-nous souhaiter de plus que de connaître Christ et d’être trouvé en lui ? Jésus remplit notre conscience jusqu’à connaître la parfaite paix ; notre jugement avec la conviction de la certitude de ses enseignements, notre mémoire avec le souvenir de ce qu’il a fait, et notre imagination avec les recherches de ce qu’il va faire encore. Comme Ruth était rassasiée et il en restait, ainsi en est-il pour nous. Nous avons de profonds besoins, nous avons pensé que nous pouvions trouver tout en Christ ; mais quand nous avons fait de notre mieux, nous avons eu à laisser après nous un énorme reste. Nous nous sommes assis à la table d’amour du Seigneur, et nous avons dit : Rien de moins que l’infini ne peut me satisfaire ; je suis tel un grand pécheur qui devait avoir un mérite infini pour ôter mon péché, me laver ; mais nos péchés ont été ôtés et cela sans aucun mérite de notre part. Notre faim a été rassasiée au festin de l’amour sacré, et nous avons trouvé qu’il y avait en surabondance à ce repas spirituel. Il y a certaines choses douces de la Parole de Dieu que nous n’avons pas encore goûtées, et que nous sommes obligés de quitter pour un temps. Car nous sommes comme les disciples à qui Jésus dit : J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les supporter maintenant. Oui il y a des grâces que nous n’avons pas encore atteintes ; des positions de communion plus proches de Christ que nous n’avons pas encore connues ;  des hauteurs dans la communion que nos pieds n’ont point encore foulées. A chaque banquet d’amour il y a plusieurs paniers de morceaux de reste. Puissions-nous magnifier la libéralité de notre glorieux Seigneur, celui qui est notre Boaz. Ch. Spurgeon★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.

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MessageSujet: Jésus invite ses disciples   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeJeu 2 Nov 2023 - 6:26

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Agneau12

Jésus invite ses disciples

     « Le maître dit : Où est mon logis où je pourrai manger la pâque avec mes disciples ? » Marc 14:14

  Nous sommes à la fin du ministère de Jésus. C’est la dernière semaine. Le moment de sa crucifixion approche.

  Les évangiles nous racontent plusieurs invitations faites à Jésus. Mais, pour la dernière pâque qu’il va vivre sur la terre, c’est Jésus qui invite ses disciples, dans une salle mise à sa disposition, à l’étage supérieur d’une maison de Jérusalem. Ce repas sera marqué par de nombreux événements, mais il y en a un qui touche profondément chaque chrétien : c’est l’institution de la Cène.

  Traditionnellement, au cours du repas de la pâque, le chef de famille expliquait aux siens la signification de cette fête : « C’est le sacrifice de la pâque à l’Éternel, qui passa par-dessus les maisons des fils d’Israël en Égypte » (Ex 12:27). Mais ce jour-là, Jésus, qui est « notre pâque » (1Co 5:7), donne à cette fête sa vraie dimension et propose une nouvelle alliance : « Ceci est mon sang, le sang de la nouvelle alliance qui est versé pour un grand nombre » (Mr 14:24). Le terme grec employé ici pour « alliance » ne contient pas l’idée d’un engagement mutuel, mais signifie une disposition prise par une partie seulement. Ce sacrifice donne ainsi un salut sûr, car offert par Dieu de façon inconditionnelle. Aussi, Jésus nous propose-t-il, avant de mourir, de nous souvenir de ce qu’il va lui-même accomplir. L’hymne chantée (Mr 14:26) est sans doute une portion des psaumes 113 à 118 réservés traditionnellement à l’occasion de cette fête. Une parole prophétique de l’un de ces psaumes prend ici toute sa valeur : « La pierre que ceux qui bâtissaient avaient rejetée, est devenue la tête de l’angle » (Ps 118:22).

  Au cours de cette invitation, cette fête, souvenir d’une grande délivrance opérée par Dieu pour son peuple, prend une signification nouvelle. La Cène est, pour les croyants, à la fois le souvenir de Jésus, « l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Jn 1:29) et celui de la délivrance du jugement de Dieu contre le péché. Plaire au Seigneur★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.

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MessageSujet: La bonne habitude de lire la Bible en famille   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeMer 1 Nov 2023 - 6:29

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Parole92

Seulement, prends garde à toi et garde soigneusement ton âme, de peur que tu n’oublies les choses que tes yeux ont vues (et afin que, tous les jours de ta vie, elles ne s’éloignent pas de ton cœur, mais que tu les fasses connaître à tes fils et aux fils de tes fils). Deutéronome 4. 9

La bonne habitude de lire la Bible en famille

Nous ressentons que ce sujet nécessite d’être considéré de la manière la plus sérieuse par tous les enfants de Dieu. Nous nous confions à Dieu pour que son Esprit emploie la méditation de ce chapitre 4 du Deutéronome pour réveiller nos cœurs et nos consciences au sujet de la lecture de sa Parole. Si ce sujet a sa juste place dans le cœur, il est certain qu’il aura sa juste place aussi dans la maison. Mais si on ne reconnaît pas à la Parole de Dieu sa place au sein de la famille, on peut difficilement croire qu’elle a sa juste place dans le cœur.

Les chefs de famille devraient peser sérieusement cette question. Nous sommes tout à fait persuadés qu’il devrait y avoir, dans tout foyer chrétien, une place quotidienne pour Dieu et sa Parole. Il est possible que certains voient cette habitude comme un esclavage, comme du légalisme, ou comme de la routine religieuse. Mais est-ce aussi un esclavage de se rassembler chaque jour pour les repas ? Ces moments conviviaux d’échanges et de partage autour de la table sont plutôt appréciés par tous si la famille est en ordre et heureuse.

Pourquoi alors, dans une maison chrétienne, le chef de famille considérerait-il comme pesant de rassembler autour de lui sa famille pour lire quelques versets de la Bible et exprimer une courte prière ? Nous croyons que c’est une habitude en parfait accord avec l’enseignement de l’Ancien Testament comme du Nouveau – une habitude qui plaît au cœur de Dieu – une habitude essentielle pour la croissance spirituelle de tous les membres de la famille.

Au temps de Néhémie, les scribes expliquaient aux hommes, aux femmes et aux enfants, les paroles de la Loi lues par Esdras : “Ils lisaient distinctement dans le livre de la loi de Dieu, et ils en donnaient le sens et le faisaient comprendre lorsqu’on lisait” (Néhémie 8. 1, 2, 8). De la même manière, la lecture quotidienne de la Parole gagnera beaucoup à être adaptée à l’âge, à la compréhension et aux intérêts des enfants ; c’est ainsi qu’elle pourra leur être profitable. À table, si la nourriture est bien préparée et appétissante, personne ne se fera prier pour manger. N’en sera-t-il pas de même pour la nourriture spirituelle si elle est ainsi préparée et adaptée aux besoins de chacun ? d’après C.H. Mackintosh★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.

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MessageSujet: Dieu nous a fait la grâce de comprendre qu'Il compte sur nous pour donner Sa Parole au peuple,   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeMar 31 Oct 2023 - 6:37

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Parole91

"Comme l'heure était déjà avancée... Jésus prit les cinq pains... rendit grâces... les donna aux disciples, afin qu'ils les distribuassent à la foule." Marc 6:35-41

L'heure est déjà avancée, les ombres augmentent, la nuit est là... l'inconnu. Une chose est de connaître les temps que nous vivons, d'en discerner le sens spirituel selon les Ecritures; autre chose est de se livrer au pessimisme. N'oublions pas que Jésus est là, et qu'Il est Dieu. Rien, absolument rien ne Lui force la main; tout, absolument tout Lui est soumis. Il entend le cri de Ses enfants qui savent prier selon la situation mondiale actuelle et déclenchent Ses interventions. Mais en même temps, Il S'occupe de la foule affamée, afin de la nourrir du pain du ciel, mais pas sans le secours de Ses disciples.

Cependant chez ceux-ci il y a toujours quelque chose de l'esprit caché que révèle leur demande: "Renvoie-les, afin qu'ils s'achètent de quoi manger." Ceux qui se croient spécialistes en matière biblique, mais ne s'occupent pas de la foule dont le sort leur est indifférent, ceux qui se déchargent de leur responsabilité à son égard en prétendant "attendre le retour du Seigneur", ne ressemblent-ils pas aux premiers disciples? Si Jésus est le Même hier, aujourd'hui et éternellement, on peut bien dire que Ses disciples le sont aussi...

Il est là, prêt à nourrir la foule. Il donne aux disciples ce pain béni, afin qu'ils le distribuent au peuple. Si nous sommes conscients de la gravité des temps, mais encore plus conscients de la présence du Seigneur Jésus, et certains de notre vocation présente et victorieuse, Il nous charge de distribuer ce pain au peuple, de l'en nourrir. Le faisons-nous? Réalisons-nous l'état moral des foules, leur péché, leur oubli de Dieu? St oui, offrons-leur le pain de la Parole, agissons!

Dieu nous a fait la grâce de comprendre qu'Il compte sur nous pour donner Sa Parole au peuple, avec notre peu de force que cependant Il bénit. Le pain que nous recevons de Sa main est une Parole bénie; et par conséquent celui que nous remettons aux autres le sera aussi.  H.E. Alexander★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.  

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MessageSujet: Servir comme Christ a servi   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeLun 30 Oct 2023 - 6:19

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Servir18

Quand Jésus fut venu à cet endroit, il leva les yeux, le vit et lui dit : Zachée, descends vite, car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison. Luc 19. 5

Servir comme Christ a servi

Quand Jésus a quitté sa demeure du ciel, il n’est pas venu sur terre pour être un surhomme. Il est venu pour servir (Matthieu 20. 28). Comme ses disciples, nous avons été laissés sur la terre pour suivre son exemple et servir ceux qui sont perdus et qui souffrent. L’histoire de Zachée nous montre certaines qualités chrétiennes que nous avons besoin de développer pour servir comme le Seigneur l’a fait.

Nous intéresser aux autres : Jésus était entouré par une foule, et il s’est pourtant arrêté pour s’intéresser à un homme en particulier : Zachée, qui avait grimpé dans un arbre. Cet homme était haï et rejeté parce qu’il était percepteur d’impôts. Il était riche, mais il manquait cependant quelque chose dans sa vie, et Christ a pris connaissance de son besoin. Il y a des gens tout autour de nous, comme cachés dans les arbres – ils ont des besoins, sont démunis, et en quête d’un espoir. Mais trop souvent, nous sommes préoccupés par nos activités et nous ne les remarquons même pas.

Être disponibles : Jésus se rendait à Jérusalem pour accomplir l’action la plus importante dans l’histoire humaine : notre rédemption. Pourtant, il s’est arrêté pour prendre un repas chez un homme ayant des besoins spirituels. Y aurait-il des choses si importantes, et nous occupant tellement, que nous ne soyons pas disponibles pour les autres quand ils ont le plus besoin de nous ?

Prendre les gens tels qu’ils sont : Bien que Zachée soit considéré comme étant un pécheur notoire, Jésus n’a pas dit : Mets de l’ordre dans tes activités, et ensuite je viendrai chez toi. – Nous sommes appelés, non pas à réformer les gens, mais à partager avec eux l’évangile de Christ qui peut les transformer.

Comment allons-nous faire pour servir ceux qui nous entourent ? Peut-être qu’il est temps de ralentir le rythme de nos activités et d’ouvrir nos yeux spirituels pour voir toutes les personnes dans le besoin. Dieu place des occasions tout autour de nous, mais si nous ne sommes pas attentifs, nous les manquerons. Parfois, il suffit de lever les yeux pour voir qui est dans l’arbre. T. Hadley★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.  

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MessageSujet: Et je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée    De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeSam 28 Oct 2023 - 16:51

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Grace113

Et je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée Jean 17:22

Voici le plus haut niveau de la libéralité du Seigneur Jésus ! Il nous a tout donné. Bien que le dixième de ses possessions aurait suffi pour combler un univers d’anges riches au delà de toutes pensées, cependant, notre Seigneur n’a été satisfait que lorsqu’il nous a donné tout ce qu’il avait.

C’eut été une grâce surprenante s’il nous avait permis de manger les miettes de sa bonté sous la table de sa miséricorde mais il ne fera rien à moitié. Il nous fait asseoir avec lui et partager son repas. Il ne nous a pas donné quelque petite pension de ses coffres royaux avec quoi nous aurions pu l’aimer éternellement, mais non. Il veut avoir sa fiancée aussi riche que lui-même, il ne veut pas avoir de gloire ou une grâce qu’il ne partagera pas. Il a voulu faire de nous ses co-héritiers afin que nous ayons une part égale.

Il a vidé son état pour le déverser dans les coffres de l’Église et il a toutes choses en commun avec ses rachetés. Il n’y a pas un endroit dans sa maison dans lequel il envisage de cacher quoique ce soit à son peuple. Il leur donne une pleine liberté pour prendre tout ce qu’il a pour eux. Il aime les voir libres de puiser dans son trésor et prendre tout ce qu’ils peuvent emporter.

La plénitude sans limite de Son tout, est suffisante et gratuite pour le croyant comme l’air qu’il respire. Christ a porté le flacon de son amour et sa grâce aux lèvres du croyant et il l’invite à boire toujours et pour toujours car peut-il la vider ? Il est le bienvenu pour le faire, et comme il ne peut pas aspirer, il est invité à boire abondamment, car c’est toute sa propriété. Y-a-t-il de preuve plus vraie de communion que le Ciel et la terre puissent avoir ?

Quand je me tiendrai devant le trône
Vêtu de beauté, non pas la mienne ;
Quand je te verrai comme tu es,
Je t’aimerai avec un cœur pur ;
Alors Seigneur, je connaîtrai pleinement
Combien je te suis redevable. Ch. Spurgeon★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.  

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MessageSujet: Dès le matin   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeSam 28 Oct 2023 - 6:24

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Parole90

Dès le matin

Depuis plus de 50 ans, je fais régulièrement mon culte matinal. Je commence par la lecture de la Parole de Dieu en me souvenant des paroles de Pierre: Désirez comme des nouveaux-nés le lait spirituel et pur (1 Pi 2.2). Puis j'élève mon âme dans la prière en pensant au Psaume 5.4: Eternel, le matin, tu entends ma voix; le matin, je me tourne vers toi, et je regarde.

A ma conversion, un chrétien écrivit dans ma Bible, sur la page blanche du début : "Ce Livre t'éloignera du péché ou le péché t'éloignera de ce Livre". J'ai fait l'expérience que c'était vrai; les deux ne vont pas ensemble. Si de nombreux chrétiens n'éprouvent pas de joie à lire la Bible, c'est parce qu'ils n'en connaissent pas l'Auteur. Rencontrer Jésus lors de la conversion, c'est une chose, mais entrer dans son intimité en passant des heures en sa présence, c'est tout autre chose.

Il faut lire la Bible chaque jour, exactement comme la manne était recueillie chaque jour. Il ne nous viendrait pas à l'esprit de ne prendre qu'un seul repas par jour, encore moins un par semaine, car notre corps demande une nourriture régulière...

Je lis la Parole de Dieu comme si je lisais une lettre, ou encore comme si je mangeais du poisson... Si je trouve un verset qui me paraît incompréhensible, je ne jette pas le Livre de côté, pas plus que je ne mets ma portion de poisson de côté parce que j'y trouve une arête. C'est "l'arête" que je mets de côté, et je poursuis ma lecture. En les relisant, je m'aperçois que je peux digérer certains versets que je taxais "d'arêtes" ! Quand vous lisez la Parole, c'est Dieu qui vous parle; quand vous priez, c'est vous qui lui parlez. La lecture du Livre terminée, j'élève au Seigneur ma prière, et c'est ainsi que j'apprends à le connaître.

J'ai trouvé trois ennemis de la vie de prière :

Le premier, ce sont les interruptions. J'ai réalisé que je devais trouver du temps et un lieu pour la prière. Mon temps, c'est le matin. Je ne songerais jamais à me rendre à mon travail sans avoir tout d'abord rencontré mon Dieu. Le lieu, c'est mon bureau, quand je suis chez moi. Nous avons du temps pour tout; nous devons en trouver pour la prière.

Le second ennemi, c'est une foule de pensées vagabondes : Toutes sortes d'idées, de plans, de programmes se présentaient toujours à moi quand je me mettais en prière et mon esprit était souvent bien loin de l'intercession. Comment me suis-je débarrassé de ces pensées vagabondes ? En priant à haute voix et en formulant ma prière. Je prie toujours fort.

Le 3ème ennemi, c'est l'assoupissement. J'avais toujours envie de dormir quand je voulais prier. Cela venait de ma position à genoux, les yeux fermés et la tête appuyée sur mon bras. Il y a des années que j'ai pris l'habitude de prier en marchant... Quand je marche ainsi de long en large dans la pièce, toute envie de dormir disparaît et je suis parfaitement éveillé...

C'est en suivant cette méthode que j'ai pu passer bien des heures en prière et c'est dans le culte matinal que je puise ma force et mon secours. La solution des difficultés est trouvée avant même que je les affronte. Dieu entend et exauce. Au lieu de laisser les circonstances m'écraser ou me plonger dans une dépression nerveuse, je peux m'élever au-dessus des circonstances qui m'entourent, et je ne connais pas de joie plus grande que celle de la communion avec Dieu dans la prière du matin. Dr. Oswald Smith★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.    

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MessageSujet: Manger ensemble    De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeVen 27 Oct 2023 - 6:57

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Hospit10

Manger ensemble

     « Tous les publicains et les pécheurs s’approchaient de lui pour l’entendre. Mais les pharisiens et les scribes murmuraient : Celui-ci accueille des pécheurs et mange avec eux. » Luc 15:1,2

  Le Seigneur Jésus a souvent enseigné à l’occasion de repas pris avec toutes sortes de personnes.

  S’il mange et boit avec des pécheurs et des publicains (qui collectent des impôts pour l’occupant romain), c’est pour être proche d’eux et apporter la grâce là où les besoins sont les plus grands.

  À table chez un pharisien qui a manqué d’égards envers lui, Jésus lui enseigne ce qu’est l’hospitalité, la miséricorde, le pardon (Lu 7:36-50). Chez un autre, il donne des conseils aux invités pour le choix de leur place à table et montre que toutes les classes sociales sont invitées au festin de la grâce (Lu 14:1-24).

  Au cours d’un souper avec ses disciples, le Seigneur montre, en lavant lui-même leurs pieds, comment servir ses frères (Jn 13:15). À la fin de ce repas, il institue son mémorial.

  Le soir de sa résurrection, deux disciples reconnaissent Jésus quand ils le voient bénir et rompre le pain à Emmaüs (Lu 24:30,31).

  Quelques jours plus tard, le Seigneur prépare un simple repas sur le rivage du lac de Galilée, pour Pierre et six autres disciples qui rentrent de la pêche. Et ce n’est qu’après le repas que le Seigneur va au fond des choses avec Pierre qui l’avait renié (Jn 21:15). Des années plus tard, Pierre s’en souvient et donne, comme preuve de la résurrection, que lui et les autres disciples ont mangé et bu en présence du Ressuscité (Ac 10:41).

  Prendre un repas avec d’autres personnes brise les barrières. Chacun est assis au même niveau et les tensions se réduisent. Après un repas, les conversations deviennent plus personnelles, les invités s’ouvrent plus facilement. La plupart des personnes ne peuvent pas écouter avant d’avoir été elles-mêmes entendues. Ce qui les intéresse n’est pas ce que nous savons ou même pensons, mais de sentir que nous les aimons, que nous avons de l’intérêt pour leurs problèmes et leurs difficultés.

  Ouvrons donc nos maisons et pratiquons l’hospitalité (Ro 12:13 ; Hé 13:1,2). Plaire au Seigneur★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.    

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MessageSujet: Efficacite ou performance   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeJeu 26 Oct 2023 - 6:36

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Sauver12

Efficacite ou performance

… nous vivons dans une société où l’homme devient quelqu'un en fonction de ce qu'il fait et non de ce qu'il est. La valeur de chaque être humain est établie en fonction de la productivité de chacun. Ainsi, le petit enfant africain qu'on nous montre à la télévision dans l'émission Vision Mondiale ne représente que peu de chose car il est perçu comme un être improductif. Bien sûr, on veut bien l'aider en le parrainant, mais en même temps, dans notre esprit, il demeure un pauvre petit enfant dont l'avenir est vain.

À qui la faute?
J'entends déjà des gens dire que la pauvreté dans le monde n'existerait pas s'il y avait vraiment un Dieu. Pour plusieurs, que Dieu existe devrait régler tous les problèmes sociaux.
Donc, puisqu'il y a beaucoup trop de ces problèmes, Dieu ne doit sûrement pas exister. Raisonnement faible, s'il en est un. En réalité, ce genre de raisonnement ne sert qu'à nous exclure de notre propre responsabilité face à la pauvreté dans le monde. D'ailleurs, l'homme est passé maître dans l'art de trouver d'autres coupables que lui-même. Ainsi, Dieu est coupable car s'il était vraiment aussi bon qu'il prétend l'être, il ne pourrait tolérer toute cette misère.

Et vous, que faites vous?
La pauvreté dans le monde est d'abord et avant tout un problème humain. L'homme en est le grand responsable et possède également les solutions. Nous savons tous que le partage des richesses est complètement injuste. Alors que la société occidentale possède tout, le reste du monde crève dans la misère. Pourtant, la somme d'argent dépensée chaque année en Amérique pour l'alcool suffirait à nourrir durant 10 ans les pays du Tiers-Monde. Remarquez bien que nos assiettes ne seraient pas touchées, juste notre superflu.

Une société "déresponsabilisée"
Il est populaire, à notre époque, de tout mettre sur le compte de la maladie. En effet, on cherche des gènes déficients qui pourraient expliquer tous nos vices et faiblesses de manière à nous exclure de toutes responsabilités. Même les crimes les plus horribles trouvent une justification scientifique qui atténue la responsabilité humaine.

Un monde sans Dieu
Voilà ce qui arrive lorsque l'homme abandonne Dieu et sa Parole. Si je dis cela c'est parce que je sais à quel point la Parole de Dieu communique des valeurs éthiques et morales qui tiennent compte du pauvre. Mais en même temps, la Parole de Dieu ne propose aucune justification à bas prix pour excuser les folies humaines. Au contraire, elle propose Jésus-Christ comme victime expiatoire pour nos péchés. Elle ne nous apprend pas à accuser l'autre de nos faiblesses, mais elle nous responsabilise en nous faisant bien comprendre que le pardon se trouve auprès de Dieu. "... qui nous a sauvés, et nous a adressé une sainte vocation, non à cause de nos oeuvres, mais selon son propre dessein, et selon la grâce qui nous a été donnée en Jésus-Christ avant les temps éternels, et qui a été manifestée maintenant par l'apparition de notre Sauveur Jésus-Christ, qui a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l'immortalité par l'Evangile" (2 Timothée 2:9-10).  Réal Gaudreault★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.

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MessageSujet: Commencez votre journée avec Dieu   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeMer 25 Oct 2023 - 6:24

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Joie7611

Ô Dieu ! tu es mon Dieu ; je te cherche au point du jour ; mon âme a soif de toi, ma chair languit après toi… Mon âme est rassasiée… Quand je me souviens de toi sur mon lit, je médite de toi durant les veilles de la nuit ; car tu as été mon secours, et à l’ombre de tes ailes je chanterai de joie. Psaume 63. 1, 5-7

Commencez votre journée avec Dieu

Le petit déjeuner est certainement le repas le plus important de la journée. Un concept similaire s’applique à notre cœur et à notre esprit. Le carburant que nous leur donnons chaque matin affecte grandement le reste de la journée. Considérons le temps consacré à la Parole de Dieu, à la prière et à la méditation dans la présence du Seigneur, comme de la nourriture spirituelle pour notre relation avec le Père.

David commençait sa journée avec le Seigneur. Dans le Psaume 63, il décrit sa recherche matinale de Dieu. Il se réveillait, avide d’entrer en contact avec son Créateur, et après avoir été restauré de la plénitude du Seigneur, son âme rassasiée débordait alors en actions de grâces et en louanges envers son Dieu. Même la nuit, reposant sur son lit, David pensait encore à son Dieu.

Imaginons seulement une journée passée comme celle-là, étant rempli de joie et de reconnaissance envers Dieu. Oui, c’est possible quand nous mettons à part le début de notre journée pour passer du temps avec le Seigneur, à l’écouter parler en lisant sa Parole et en nous adressant à lui dans la prière. Nous serons encore plus richement bénis si nous pensons continuellement à Dieu tout au long de la journée et de la nuit, en contemplant qui il est et comment il agit.

Rechercher le Seigneur ne remplit pas seulement notre âme vide, cela augmente aussi notre soif de le connaître toujours plus. Si au début, cela peut paraître contraignant et demande de s’y appliquer, nombreux sont ceux qui peuvent rendre témoignage que par la suite, ils ne pouvaient plus s’en passer et désiraient plutôt augmenter la durée de ces moments à l’écart, à l’écoute du Seigneur.

Trouvez-vous difficile de consacrer du temps pour être avec le Seigneur chaque matin ? Rendez-vous compte que les habitudes de toute une vie commencent déjà dès la tendre enfance, et non en prenant des résolutions épuisantes. Commencez dès aujourd’hui : réservez 15 minutes ce matin. Puis essayez de continuer pendant quelques jours, et vous verrez si le Seigneur ne commence pas à rassasier votre âme et à augmenter votre faim pour lui. T. Hadley ★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.  

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MessageSujet: Des oiseaux mangent aux Mac Do !    De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeMar 24 Oct 2023 - 5:51

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Enfant25

Des oiseaux mangent aux Mac Do !

Savez-vous que vous avez de la valeur aux yeux de votre Père céleste? Vous êtes un enfant de Dieu et par conséquent, Il prend soin de vous!

Un jour, alors que je mangeais sur la terrasse d'un Mac Donald's en plein soleil, je vis une dizaine d'oiseaux venir de toute part pour picorer un reste de BIG MAC et de frites dans un plateau sur une table.

Et pendant plus de 10 minutes, les oiseaux prirent le temps de manger à leur faim, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien du reste BIG MAC et des frites.

En regardant ce spectacle, je pensais à ce verset de Matthieu où Jésus dit que les oiseaux sont nourris par notre Père.

Matthieu 6 : 26 Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n'amassent rien dans des greniers; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu'eux ?

Alors je me dis intérieurement : "Waou ! Si c'est mon Père céleste qui nourrit ces oiseaux, alors là il y va fort tout de même en leur offrant un repas au Mc Donald's ! Après tout, ce ne sont que des oiseaux ! "

J'aimerais simplement laisser sur votre cœur cette pensée: vous ne verrez jamais un oiseau en liberté mourir de faim ou être dans le besoin, car Dieu pourvoit toujours pour eux, vous en verrez peut-être même certains manger aux Mac Do ou au Quick. A combien plus forte raison, nous, en tant qu'enfants de Dieu (libres comme les oiseaux; libérés de l'esclavage du péché par le sang de Jésus) notre Père céleste pourvoira à nos besoins, et bien plus encore, il prendra plaisir à vous faire manger des mets succulents dans de bons, de beaux (et de vrais !) restaurants...!

Souvenez-vous de cette phrase : « Vous n'êtes pas des oiseaux, vous êtes fils et filles de Dieu votre Père céleste ».

Si des oiseaux ont l'opportunité de manger au Mac Donald's, vous aurez vous aussi la possibilité en tant qu'enfant du "Tout-Puissant" de manger toujours bien mieux.

Simplement, ayez confiance en votre Père céleste, et sachez qu'Il pourvoit à tous les besoins de ses enfants comme tout BON père.  Soyez bénis ! - Michaël Lebeau★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.  

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MessageSujet: La volonté du Père   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeLun 23 Oct 2023 - 5:36

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Volont17

La volonté du Père

"Car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé." Jean 6.38

Une foule nombreuse suivait Jésus à cause des signes dont elle était témoin. Après lui avoir enseigné les vérités fondamentales du royaume, il nourrit la multitude avec seulement cinq pains d'orge et deux poissons. Comme ils continuaient à le suivre, il leur montra que leurs priorités n'étaient pas bonnes.

Ils considéraient avant tout leurs besoins physiques, mais devaient comprendre que tout est passager dans ce monde et qu'il fallait plutôt rechercher "la nourriture qui subsiste pour la vie éternelle". D'où leur viendrait cette nourriture ? Du Fils de l'homme.

Cela signifiait croire en "celui qui [l]'a envoyé". Regarder aux choses spirituelles. Manger "le vrai pain venu du ciel". Mais pour recevoir ce pain, il leur fallait regarder à Jésus lui-même, car il est "le pain de vie". Le consommer. Trouver leur nourriture en lui.

Pour beaucoup, qui considéraient Jésus en termes purement humains, cela n'avait aucun sens. Ils "se retirèrent" et cessèrent de le suivre. Ils n'avaient pas compris le coeur même de son enseignement, à savoir que le but de sa vie était de se soumettre à la volonté du Père. Mais d'autres, comme Pierre, comprirent que Jésus seul avait "les paroles de la vie éternelle".

Ces principes sont un test pour notre foi. Aujourd'hui encore, certains admirent Jésus et attendent des "signes", mais ultimement, ils se préoccupent essentiellement d'eux-mêmes. Ils se laissent dominer par leurs propres pensées et leur coeur, ainsi que par le monde.

Or l'idée centrale de l'Évangile est que le royaume de Dieu exige un engagement radical. Jésus donne puissance et bénédictions. Sagesse et connaissance. Mais uniquement à ceux qui s'abandonnent entièrement à lui. Qui vouent à Dieu une obéissance sans compromis. Qui sont disposés à faire sa volonté.

Aujourd'hui, abandonnez tous les domaines de votre vie à Dieu. Suivez Jésus de manière absolue. Soyez déterminé à rechercher la volonté de Dieu, même lorsque vous ne comprenez pas tout. Quelles que soient les circonstances ou quoi que disent les autres.

Une prière pour aujourd'hui
Père, je recherche ta volonté pour ma vie. Aide-moi à te suivre et à être fidèle à ton appel. Donne-moi le courage de croire, au lieu de suivre le monde. Au nom de Jésus. Amen. John Roos★     Bonne journée ! Josy R. ♪♫•* ♪¸¸.  

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MessageSujet: De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu   De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu Icon_minitimeSam 21 Oct 2023 - 18:49

De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu 16044610

Bien-aimés - A l’ origine, les Hébreux mangeaient assis ou plutôt accroupis à terre, sur une natte ou une peau de bête, autour d’un plat commun où chacun puisait avec les doigts.
Puis, à l’époque sédentaire, on connut la table et l’on se servit de sièges.
Vers le VIII e siècle, apparut la coutume, qui se généralisa peu à peu, de s’étendre sur des sofas disposés autour de trois des côtés de la table, le quatrième restant libre pour permettre le service: on s’y allongeait sur le côté gauche, le coude appuyé sur la table, et l’on se servait uniquement de la main droite. Les sofas, que partageaient le plus souvent deux ou trois convives, faisaient avec la table un angle tel que chacun avait la tête à la hauteur de la poitrine ou de la taille comme on disait alors, dans le sein - du voisin de gauche, auquel il était ainsi facile de parler en particulier.
A l’époque de Jésus, avant de se mettre à table, on se lavait les mains en les arrosant d’eau jusqu’au poignet: de grandes jarres d’eau réservées à cet usage se trouvaient dans toutes les maisons.
Une fois les plats déposés sur la table par une des femmes ou par les domestiques, un des convives rendait grâces à haute voix en récitant une formule de bénédiction tirée du Deutéronome, et tous les assistants ensemble prononçaient l’amen final. Dans les familles pieuses, on ne se bornait pas à bénir la table en général; on bénissait chaque aliment particulier: le pain, le vin, la viande, le fruit des arbres et de la terre. Jésus s’est conformé à l’usage général.
La viande, découpée à l’avance en morceaux, était apportée avec les autres mets dans de la vaisselle de terre et de cuivre chez les riches. Le maître de maison distribuait les portions, que chaque convive recevait sur le pain placé devant lui et mangeait ensuite avec les doigts ; la sauce était servie dans un plat spécial où l’on trempait à tour de rôle un morceau de pain. Le repas se terminait par une dernière bénédiction.
Lors d’une fête religieuse, il était du devoir de chacun de distribuer de la nourriture, matérielle comme spirituelle, aux âmes affamées.
Aux premiers jours de l’Eglise, les chrétiens se réunissaient pour une agapè ou « repas d’amour » distinct de la cène. Ils partageaient ainsi un vrai repas dans une authentique communion d’esprit et d’amour. Après ce repas, il leur arrivait souvent de célébrer la cène avec le pain et le vin.
Bonne semaine bénie !


Que les peuples raniment leur force, {Esaïe 41:1}

Toutes choses sur terre ont besoin d’être renouvelées, nulle chose créée ne se perpétue par elle-même. « Tu renouvelles l’aspect de l’année ou la face de la terre » dit le prophète, même les arbres qui ne se fatiguent pas, ni ne raccourcissent leurs vies à force de labeur, doivent boire de la pluie du ciel et sucer les trésors cachés du sol.

Les cèdres du Liban, que Dieu a plantés, ne vivent jour après jour que s’ils sont remplis d’une sève tirée de la terre, et aucune vie humaine ne peut se prolonger sans un renouvellement de Dieu. De la même manière que nous devons compenser la perte de force physique du corps par des repas fréquents, de même nous devons combler le vide de l’âme en nous alimentant dans le Livre de Dieu, en écoutant la parole annoncée. Combien nos grâces se raréfient lorsque ces moyens sont négligés !

Des saints meurent de mort spirituelle parce qu’ils ont négligé l’usage diligent de la Parole de Dieu et le secret de la prière. Si notre piété peut vivre sans Dieu elle n’est pas une création divine, elle est seulement un rêve, car si Dieu l’a engendrée, elle devrait s’attendre à Lui comme les fleurs s’attendent à la rosée.

Sans une restauration permanente, nous ne sommes pas prêts à affronter les assauts continuels de l’enfer, ou les afflictions sévères du ciel, ou même les luttes intérieures. Lorsque le cyclone ou le tourbillon de vent sera déchaîné, malheur à l’arbre qui n’aura pas sucé de la sève fraîche et qui n’aura pas étreint le Rocher avec de nombreuses racines entrelacées.

Quand les tempêtes se lèvent, malheur aux marins qui n’ont pas renforcé leur mât, ni jeté leur ancre, ni cherché le port. Si nous délaissons le bien pour devenir plus faibles, l’influence du mal reprendra des forces et mènera un combat acharné pour nous assujettir et ainsi peut-être une dévastation douloureuse et une disgrâce déplorable pourront survenir.

Approchons nous près du marchepied de la Grâce divine dans une humble supplication, et nous réaliserons l’accomplissement de la promesse : Ceux qui s’attendent au Seigneur renouvelleront leurs forces. Ch. Spurgeon


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