| | | Marie |  |
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Josy
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|  Sujet: Marie  Ven 23 Jan 2009 - 12:19 | |
|  Privilégiée entre toutes les femmes
Lecture : Lire Luc 1 : 26-38, Matthieu 1 : 18 :25, Luc 2 :6-14, 17-19, 33-35, Jean 19 :25-27
Marie : grec : Maria ou Mariam, Hébreu : Miryam (opiniâtreté)
A la pensée de beaucoup d’exégète la généalogie de Luc serait celle de Marie, ainsi elle est de descendance Davidique, son père serait Héli.
Il lui fut annoncé que son fils recevrait le trône de David son père (Romains1 :8 – 2 Timothée 2 :8) Actes 2 :30 affirme qu’Il est selon la chair de la race de David.
Habitation : à Nazareth
Fiancée à un charpentier, Joseph (descendant aussi de David), elle devint sa femme seulement après la naissance de Jésus, son premier né (Matthieu 1 : 24,25 Luc 2 :7) Elle mit au monde un fils : son premier–né.
Marie et Joseph allèrent à Jérusalem, pour présenter l’enfant au Seigneur et pour apporter dans le Temple le sacrifice qu’exigeait la Loi. (Lévitique 12.2, 6, 8. Luc 2.35) Joseph et Marie retournèrent ensuite à Bethléem.( Matthieu 2.8-11)
Environ deux années plus tard, c’est dans une maison qu’ils reçurent les mages d’Orient, venus adorer Jésus. (Matthieu 2.1-11) La sainte famille, dirigée par Dieu, s’enfuit bientôt en Egypte, puis retourna à Nazareth. Marie se voua à l’éducation de l’enfant, dont l’avenir devait la préoccuper constamment.
Elle assista chaque année, à Jérusalem, avec Joseph à la fête de la Pâque (Luc 2.41) bien que la Loi ne l’exigeât pas des femmes juives Exode 23.17. Joseph et Marie, gens pieux, emmenèrent Jésus à Jérusalem dès qu’il eut l’âge d’y participer aussi.
Marie eut une famille nombreuse. Il est question de ses fils : Jacques, Joseph, Jude, Siméon, (Matthieu 12 :47 - 13 :55 – Marc 3 :31, 6 :3 – Luc 8 :19, Jean 2 :12), qui jusqu’à la mort de Jésus n’eurent pas foi en lui Jean 7:4, mais que nous retrouvons après sa résurrection unis aux disciples Actes1 :14.
Jacques se distingue en ayant un ministère, il se distingue comme chef de l’Eglise de Jérusalem et il est l’auteur de l’épître de Jacques, Jude a aussi écris une épître. (1Corinthiens 9 :5, Galates 2 :9, Actes 12 :17, 15 :13, etc.… )
Il est aussi question des sœurs de Jésus (Marc 6.3.)
Veuve certainement au moment du ministère de Jésus car il n’est plus question de Joseph après les 12 ans de Jésus et jusqu’au début du ministère public de Christ, nous ne savons rien d’autre de Marie.
Le culte à Marie a commencé à paraître en 370. A ce moment là, Epiphane blâme les hérétiques qu’il appelle les collyridiens parce qu’ils rendent un culte à Marie, peu à peu cependant le culte à Marie se répand. En 668, le panthéon lui fut consacré. En 1854 il y a proclamation de l’immaculée conception bien qu’elle fut femme de Joseph : Matthieu 1 :24 A son réveil, Joseph fit ce que l’ange du Seigneur lui avait commandé : il prit sa fiancée pour femme. Mais il n’eut pas de relations conjugales avec elle avant qu’elle ait mis au monde un fils, auquel il donna le nom de Jésus.
Marie eut des filles aussi. Marc 6 : 3
En 1950 le dogme de l’assomption est promulgué par le pape Pie XII
MARIE FUT UNE FEMME PRIVILEGIEE parce qu’elle fut choisie par Dieu pour être la mère du Messie, du Sauveur du monde – elle fut l’objet d’un miracle – elle était descendante de David, ce qui était important à cette époque – Elle fut choisie parmi les vierges de son époque ( Esaïe 9 annonce que le Messie naîtrait d’une vierge) - un ange lui a parlé de la part de Dieu – Elle fut privilégiée en tant que mère puisqu’elle mit au monde le Fils de Dieu dont le règne n’aurait jamais de fin (Luc 1 :32) - Privilégiée aussi en tant que femme car être mère du Messie, du Rédempteur promis à Adam, à Abraham et aux prophètes était ce que toute femme juive espérait !
UN MAGNIFICAT est un Cantique ou un Poème généralement court, une méditation spirituelle susceptible d’être chantée ou psalmodiée dans le service divin.
Le cantique de Marie est intitulé Magnificat et celui de Zacharie Benedictus, d’après le 1er mot de leur traduction en latin.
A l’arrivée de Marie, Elisabeth fut consciente de l’approche de celle qui allait être la mère du Rédempteur. Au même moment elle fut remplie du Saint-Esprit, et a saluée Marie en l’appelant « bénie entre toutes les femmes » en déclarant que Marie et l’enfant qu’elle attendait étaient bénis.
Marie, animée par les douces paroles d’Elisabeth, et en étant aussi sous l’influence du Saint-Esprit, a laissé échapper sa joie et sa gratitude. Toutes les générations la diront bénie ! Non pas à cause de ses mérites, mais à cause des hauts faits de Dieu. Marie exalte le Seigneur (Luc 1. 46-56) : Le Magnificat n’est pas sans rappeler le cantique d’Anne dans l’A.T. (1Samuel 2.1-10). Marie commence par louer le Seigneur pour ce qu’Il a fait en sa faveur (v. 46-49) : toutes les générations me diront bienheureuse, affirme-t-elle. Elle ne se voit pas comme conférant elle-même des bénédictions, mais comme une femme bénie parmi les autres. Indigne de cette faveur, elle ne pouvait qu’offrir louange et reconnaissance. L’enfant qui allait naître allait aussi être son sauveur !
Ces hymnes d’Elisabeth et de Marie révèlent la piété profonde, la joie grave de ces saintes femmes méditant sur la puissance et la grâce de Dieu qui, par leurs fils, accompliraient les anciennes promesses faites à Israël et apporteraient le salut au monde.
LUC 2 :22 : Parole Vivante : «Quand ce temps fut passé, les parents se rendirent à Jérusalem… pour présenter l’enfant au Seigneur afin de le lui consacrer.» Dans la loi de Moïse, il était écrit que tout enfant premier-né de sexe masculin devait être présenté au Seigneur au Temple 40 jours après sa naissance, et que la mère devait se purifier en même temps. Pour respecter la loi, les parents venaient au Temple offrir un sacrifice, un agneau ou, pour les plus pauvres un couple de tourterelles. Joseph et Marie sont donc montés au temple de Jérusalem pour aller présenter Jésus au Seigneur. Le fait que Marie ait offert deux jeunes pigeons témoigne de la pauvreté dans laquelle Jésus est né !
En voyant Jésus, Siméon dit que ses yeux ont vu la " Lumière " qui va éclairer les nations.
Siméon venait souvent au Temple, il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu'il ne mourait pas avant d'avoir vu le Christ. Siméon entra dans le temple lorsque les parents de Jésus présentaient leur enfant à Dieu. Le vieillard su par des voies surnaturelles que cet enfant était le Messie. Il le prit dans ses bras et, après un élan de louange adressé à Dieu pour le don du Messie, Siméon bénit les parents de Jésus.
Puis il délivra un message prophétique………Ou il souligna qu’une épée transpercera l’âme de Marie dont voici les quatre aspects :
1 - L'enfant est destiné à la chute et le relèvement de beaucoup en Israël.
2 - L'enfant est destiné à devenir un signe qui provoquera la contradiction.
3 - Une épée transpercera l'âme de Marie.
4 - …afin que les pensées de beaucoup de coeurs soient dévoilés.)
Quant à Anne, prophétesse qui consacrait sa vie à la prière dans le Temple de Jérusalem, elle avait 84 ans quand Joseph et Marie arrivèrent au Temple. Elle aussi reconnu le Messie dans ce petit bébé Jésus. Elle loua Dieu et, très heureuse, parla de Jésus autour d'elle. A SUIVRE.....
Dernière édition par Josy le Ven 24 Fév 2017 - 19:31, édité 1 fois | |
| | | | Josy
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| | Sujet: Marie 2 Ven 23 Jan 2009 - 12:21 | |
|  A L’EXEMPLE DE MARIE ET JOSEPH, encore aujourd'hui une présentation d'enfant représente beaucoup pour des parents chrétiens. Elle n'est pas une formalité, mais l'expression de cœurs reconnaissants.
Au moment d'une présentation d'enfant au Seigneur, les membres de l'église locale présents prient pour la protection de cet enfant, pour demander l’assistance du Saint-Esprit aux les parents pour l’éducation de leurs enfants et afin qu'un jour cet enfant dise "oui " à Jésus-Christ pour placer pour toujours sa confiance en son Sauveur.
Le sens d’une présentation est donc que, parents, membres de l’église locale et responsables remettent officiellement au Seigneur la vie d’un enfant. Ils disent ensemble : nous te le confions et te demandons de le bénir de ta bénédiction.
La présentation est : un acte public de gratitude et de reconnaissance envers Dieu qui confie l’enfant aux parents.
Exprimé ou non, devrait avoir lieu l’engagement des parents d’instruire l’enfant dans la connaissance de Dieu et de sa Parole, et de faire ce qui est dans leur pouvoir pour que l’enfant devienne un jour enfant de Dieu par la nouvelle naissance.
L’engagement de l’église, au moins tacite, est aussi nécessaire. Elle accueille l’enfant et sera prête, le moment voulue à l’entourer et à l’enseigner, aidant ainsi les parents à assumer leurs responsabilités dans le domaine spirituel et moral.
LA SITUATION PRIVILEGIEE DE MARIE ENTRAINA MAINTS SACRIFICES, En effet, dès son jeune âge (elle pouvait avoir 13 ans ou 15 ans puisqu’à cette époque les jeunes filles se mariaient à partir de 12 ans et demi !), elle fut amenée à comprendre qu’une faveur exceptionnelle implique le renoncement à soi.
Il y a beaucoup d’exemples dans la Bible qui aide à comprendre cela, par ex. Moïse Hébreux 11 :24 Qui estimait que l’opprobre de Christ était une plus grande richesse que les trésors de l’Egypte et Paul en Actes 9 :15 de qui il est dit : Je lui montrerais ce qu’il faut souffrir à cause de mon nom.
Marie fit le sacrifice de sa personne pour laisser Dieu accomplir sa volonté en elle.
Elle fit le sacrifice de sa renommée – de son fiancé car elle ne savait pas ce qu’il déciderait jusqu’à ce que l’ange parle à Joseph – Elle fit le sacrifice de son fils, en effet Siméon la prévint «qu’une épée transpercera son âme Luc 2 :34 et, en effet Marie subira l’angoisse à cause du traitement infligé à son fils.
Tout petit déjà elle devait penser élever et éduquer l’enfant pour Dieu et non pour elle-même
JEAN 2 : 1 – 11 Il y eut des noces à Cana, et la mère de Jésus était là.
Lorsque Jésus arriva dans cette famille amie, peut-être même de sa parenté. Quelques traits de notre récit (Jean 2:3,5) semblent indiquer que Marie prenait une part active dans les arrangements de la fête.
Il est intéressant de remarquer que Marie nous est présentée comme la mère de Jésus. Le Sauveur n’était pas célèbre parce qu’Il était le Fils de la vierge Marie, mais elle était très connue en tant que la mère de notre Seigneur. L’Ecriture accorde toujours une place prééminente à Christ et non à Marie.
Aux noces de Cana (Jean 2.1-10) Christ s’oppose avec respect, mais fermeté, à l’intervention inopportune de sa mère. Il lui fait entendre qu’elle ne doit pas s’immiscer dans son ministère. Comme fils, il lui témoigne de la déférence; comme Messie et Sauveur, il la met au rang de ses disciples, car Marie a besoin, autant que n’importe qui, du salut qu’offre Christ. Ecoute, lui répondit Jésus, est–ce toi ou moi que cette affaire concerne ? Mon heure n’est pas encore venue.
Marie comprit le sens de ses paroles, aussi demanda-t-elle aux serviteurs de faire tout ce qu’Il leur dirait. Ses paroles revêtent une importance primordiale pour chacun de nous. Remarquons qu’elle ne demande pas que l’on obéisse à elle ou à tout autre être humain, mais elle les dirige vers le Seigneur Jésus et leur dit que c’est à lui qu’il faut obéir. Les instructions du Seigneur Jésus nous sont données dans les pages du N.T. En lisant ce livre précieux, nous devrions nous rappeler des dernières paroles rapportées de Marie: Faites ce qu’Il vous dira.
L'EPREUVE LA PLUS DIFFICILE DE MARIE EN TANT QUE MERE fut au pied de la croix lorsqu’elle vit Jésus crucifié comme un vulgaire malfaiteur… Jean 19 : 25 « Près de la croix de Jésus, se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie femme de Clopas et Marie–Madeleine. »
Elle ressentit comme toute mère la souffrance physique qu’il endurait et se vit impuissante pour intervenir. L’épée transperça son âme avec toute son acuité. A ce moment là, la douleur de Marie atteint son paroxysme. Comme Christ, elle bu la coupe amère jusqu’à la lie. Elle resta à ses cotés jusqu’à la fin. Elle vit son agonie et assista à la dérision et aux moqueries dont il était l’objet. Marie est restée au pied de la croix et souffrait avec lui, cela faisait partie de son rôle de mère. Elle pouvait tenir ferme parce qu’elle s’était entièrement livrée à Dieu, ses sentiments passait au second plan.
LES CARACTERISTIQUES LES PLUS REMARQUABLES DE MARIE: Dès sa jeunesse elle se montre prête au sacrifice de sa personne, de ses projets (avec joseph par ex.)
Elle avait un état de cœur selon Dieu, elle était approuvée de Dieu « le Seigneur est avec toi » lui dit l’ange. Dieu a vu cet état de cœur fait de pureté, de simplicité et d’humilité, mais aussi d’abandon total.
Marie était prête à croire Dieu : même si elle ne comprenait pas.
Marie était prête à obéir à Dieu : même si cela lui semblait impossible.
Marie était prête à plaire à Dieu : même si les autres ne la comprenaient pas.
Marie était prête à accepter le plan de Dieu pour sa vie : même si cela lui paraissait incompréhensible.
Marie était prête à servir ce Dieu qu’elle aimait par dessus tout : même si cela lui coûtait.
Marie était prête à être utile entre les mains de Dieu : même si elle savait que ce ne serait pas facile.
Marie était prête à faire valoir son « talent » de mère : même si cela engendrait de la souffrance.
Marie était prête à mettre sa foi en action : même si elle se sentait toute petite.
Femme de foi, Elisabeth dit d’elle : Heureuse celle qui a cru à l’accomplissement de ce qui lui a été dit de la part du Seigneur.
Pieuse : tous les ans elle tient à assister aux fêtes de Pâques à Jérusalem bien que la loi ne l’exigeait pas pour les femmes
Le magnificat révèle sa bonne connaissance des Ecritures car elle reprend des passages d’Anne, de Job, Deutéronome, Esaïe, Michée, et de différents psaumes.
Avec le magnificat elle montre aussi un don poétique et prophétique
Bonne éducatrice : connaissant les écritures et voulant leur obéir elle ne pouvait qu’être une bonne éducatrice la femme juive étant une petite reine dans son foyer et son influence était très grande dans sa maisonnée
Femme de méditation elle repasse dans son cœur ce qui lui a été dit au sujet de son fils.
Humble puisqu’elle se considère comme la Servante du seigneur, ne réclame rien pour elle-même.
- Dans la chambre haute après l’ascension nous la voyons avec les disciples puis elle n’est plus mentionnée…
LES DERNIERS FAITS DE LA VIE DE MARIE DONT LA BIBLE PARLE : Matthieu 12.50 Marie et les frères de Jésus paraissent avoir habité Nazareth durant le ministère de Jésus. Joseph n’étant pas mentionné, on suppose qu’il était décédé. A l’encontre des frères de Jésus Jean 7.5 Marie ne cessa jamais de croire que son fils fût le Messie. C’est pourquoi, elle le suivit lors de l’ultime voyage à Jérusalem. Souffrant à la fois comme mère et comme disciple, elle soutint le spectacle horrible de la crucifixion. Jésus agonisant lui parla et la confia à Jean, son disciple bien-aimé; "et dès ce moment, le disciple la prit chez lui". Jean 19.25-27 Après l’Ascension, elle était avec les apôtres dans la chambre haute Actes 1.14 dès lors, l’Ecriture ne la mentionne plus. Nous ne connaissons ni la date ni les circonstances de sa mort. On montre, dans la vallée du Cédron, le tombeau de Marie, mais il n’y a aucune raison de croire à son authenticité. Les légendes tardives relatives à Marie ne contiennent aucun renseignement digne de foi. L’Ecriture la présente simplement comme une figure magnifique de femme dévouée et pieuse. Elle occupe une place unique comme mère du Messie, et "toutes les générations la diront bienheureuse".
LECONS LES PLUS IMPORTANTES DE L’HISTOIRE DE MARIE : Elle resta fidèle tout au long de sa vie de ce qu’elle proclama à l’ange de tout son cœur lors de l’annonciation « je suis la servante du Seigneur » !
Avec le temps nous la voyons ne plus dépendre de son fils par les liens de la chair mais par les liens de l’esprit, ce qui la mit au rang des disciples et lui donna de faire partie de la famille de Dieu comme cela est dit en Ephésiens 2 :18-22 Car, grâce à lui, nous avons accès, les uns comme les autres, auprès du Père, par le même Esprit. Voilà pourquoi vous n’êtes plus des étrangers ou des résidents temporaires, vous êtes concitoyens des membres du peuple de Dieu, vous faites partie de la famille de Dieu.
Marie a risqué la mort en acceptant de faire la volonté de Dieu, elle présenta son corps en sacrifice vivant comme cela nous est demandé en Romains 12 :1 Je vous invite donc…, à lui offrir votre corps comme un sacrifice vivant, saint et qui plaise à Dieu. Ce sera là de votre part un culte spirituel. Ne vous laissez pas modeler par le monde actuel, mais laissez vous transformer par le renouvellement de votre pensée, pour pouvoir discerner la volonté de Dieu : ce qui est bon, ce qui lui plaît, ce qui est parfait.
Nous devons en effet offrir nos corps comme un sacrifice vivant, saint, que Dieu accepte. Nos corps représentent ici l’ensemble de nos membres et par conséquent notre vie entière.
Une consécration totale est de notre part un culte raisonnable dans ce sens que si le Fils de Dieu est mort pour nous, le moins que nous puissions faire est de vivre pour lui. «Si Jésus-Christ est Dieu et mourut pour moi», affirma Ch. Studd, champion d’athlétisme britannique, «alors aucun sacrifice n’est trop grand pour lui». Romais 16.27. Le célèbre cantique d’Isaac Watts proclame la même idée: «L’amour divin si merveilleux exige mon cœur, ma vie, mon tout.»
L’expression un culte raisonnable peut aussi se traduire par «une adoration spirituelle». Comme croyants, nous sommes des sacrificateurs qui venons à Dieu, non avec le sacrifice d’un animal immolé, mais avec le sacrifice spirituel d’une vie livrée. Nous lui offrons aussi notre service (Romains 15.16), notre louange (Hebreux 13.15), et nos biens (Hebreux 13.16).
Les croyants doivent se consacrer à Dieu. Ils doivent être humbles, et utiliser fidèlement leurs dons spirituels, dans leurs postes respectifs. Offrir sa vie, c’est-à-dire vivre dans la sainteté, c’est ce qui est agréable à Dieu. Josette Risnes | |
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