L’amour infini du Père

Tenir ferme

“Dans ma première défense, personne ne m’a assisté, mais tous m’ont abandonné. Que cela ne leur soit point imputé ! C’est le Seigneur qui m’a assisté et qui m’a fortifié... Le Seigneur me délivrera de toute œuvre mauvaise, et il me sauvera pour me faire entrer dans son royaume céleste. A lui soit la gloire aux siècles des siècles” (2 Timothée 4:16-18)

Paul nous dit ici : “Le Seigneur s’est tenu avec moi et m’a fortifié malgré tous les moments d’épreuve que j’ai affronté.” Paul savait que, s’il s’approchait du Seigneur, Christ l’honorerait en se tenant avec lui.

L’apôtre déclare en effet : “Partout où je me tournais, il y avait problèmes et détresse. Mais, quand d’autres m’ont abandonné – quand je me suis retrouvé seul et que tout ce que je pouvais voir, c’étaient des temps difficiles – le Seigneur est venu à moi et a déversé Sa force en moi. Il m’a délivré de toutes mes craintes. Il m’a donné l’assurance qu’Il me garderait de toutes œuvres mauvaises et Il continuera à me garder jusqu’à ce que j’aille au ciel.”

Paul désirait ardemment voir ses enfants spirituels saisir cette idée dans leur vie. Année après année, il a vu le Seigneur les fortifier et les rendre capables de tenir ferme, même au milieu des temps les plus difficiles.

Bien-aimé, tu ne peux obtenir ce genre d’assurance et de force que dans la présence du Seigneur Lui-même. Nous savons que Paul était en communion constante avec Christ à travers la prière et c’est pour cette raison que les mauvaises nouvelles et les épreuves ne pouvaient l’ébranler. A chaque fois que Paul affrontait une nouvelle terrible épreuve, il s’échappait dans la prière, courant à Jésus pour qu’Il enlève le fardeau de son cœur. David Wilkerson

Marc 6.7-13 - Alors il appela les douze et commença à les envoyer deux à deux, et il leur donna autorité sur les esprits impurs. Il leur recommanda de ne rien prendre pour le voyage, sauf un bâton, de n'avoir ni pain, ni sac, ni argent dans la ceinture, de chausser des sandales et de ne pas mettre deux chemises. Lire la suite

Jésus fait vivre à ses disciples un « cours d’entraînement missionnaire ».

L’enseignement a été donné, il s’agit maintenant de la pratique. L’envoi est accompagné de consignes précises.

Deux à deux
Il est bon, même si l’on sait que le Seigneur est toujours avec nous, d’avoir une personne proche avec qui partager la tâche qu’il nous confie1 ; on peut s’encourager réciproquement, on peut prendre le relais si l’un faiblit, on peut aussi se corriger l’un l’autre.

L’équipement
Rien qu’un bâton et des sandales ; pas de carte de crédit, pas de sac à dos, pas de casse-croûte.. . mais quelque chose de beaucoup plus utile : l’autorité sur les esprits impurs (7).

La mission
Deux cas sont prévus : vous êtes accueillis, alors restez ; on vous ferme la porte au nez, alors partez. Secouer la poussière de ses pieds, c’est renvoyer les réfractaires à leur incrédulité. En outre, pour les disciples refoulés, c’est les dégager de leur responsabilité ; les mauvais résultats ne leur seront pas reprochés. Ils n’auront donc pas honte quand ils rendront des comptes à leur Maître.

Des actions concrètes
Prêcher est important : chaque auditeur, en connaissance de cause, doit se positionner par rapport à Celui qui a envoyé ses messagers. Jean-Baptiste et Jésus ont exhorté de la même façon1.
Ensuite, les disciples ont l’occasion, en délivrant des gens sous l’emprise des démons, de mettre en œuvre l’autorité qu’ils ont reçue.
Quant à la guérison des malades, elle se réalise par un geste simple, mais efficace.

Mission accomplie !
À vous comme à moi, le Seigneur confie une tâche précise et personnelle ; s’il nous envoie, il nous équipe aussi en conséquence.  Le guide - Suzanne Berney

Notes:
1: Jésus a envoyé deux disciples pour des missions précises : amener un petit âne (Mt 21.1-2), et préparer la Pâque (Mc 14.13). On pense aussi à Moïse, à qui Dieu a donné son frère Aaron (Ex 4.13-16).
2: Mt 3.2 et 4.17

Sommeil régénérateur

Certainement c'est Dieu qui donne le repos à celui qu'il aime. (Psaumes 127:2)

Notre vie ne doit pas être une vie de soucis ni d'inquiétudes, mais une vie de foi joyeuse et tranquille. Notre Père céleste pourvoit aux besoins de ses enfants et sait ce dont nous avons besoin avant que nous le lui demandions. Nous pouvons donc aller paisiblement à notre repos à l'heure convenable, sans nous croire obligés de veiller pour combiner et dresser nos plans d'avenir et de nous tourmenter à ce sujet. Si nous avons appris à nous reposer sur Dieu, nous ne serons pas tenus en éveil par les craintes et les sombres pressentiments, mais nous abandonnerons tout souci au Seigneur, et ne songerons qu'à lui et à sa grâce, et il nous donnera un sommeil doux et réparateur.

Être les bien-aimés de Dieu, voilà le plus grand des honneurs, car notre ambition ne peut rien souhaiter de plus, aussi tout désir intéressé devrait-il céder à côté de celui-là. Qu'y a-t-il dans le ciel de plus grand que l'amour de Dieu ? Sois donc en repos, mon âme, car en lui tu as toutes choses.

Et cependant, malgré tout, nous restons agités, si le Seigneur ne nous donne, non pas seulement des raisons d'être en repos, mais le repos lui-même. Eh bien, en Jésus il le fait ; Jésus lui-même est notre paix, notre repos, notre tout, et sur son sein nous reposons en parfaite sécurité, soit dans la vie, soit dans la mort. Ch. Spurgeon

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Un mot rassurant

Quand j'ai personnellement besoin d'une certaine mesure d'espoir, je veux parler à quelqu'un que je connais, à quelqu'un qui a de l'expérience avec une tribulation et une douleur durables. Je ne veux pas quelqu'un qui m'offrira des platitudes creuses, telles que : «Attendez-vous juste là-bas» ou «Confiez-vous à Dieu». Mon âme souffrante ne peut être émue ou émue par des mots de simple sympathie humaine.

Plutôt, j'aimerais parler pendant une demi-heure avec le croyant qui m'a envoyé un courrier électronique pour avoir à regarder sa femme mourir lentement de la maladie de Lou Gehrig. Comme cet homme m'a décrit la profondeur de sa douleur, il a dit : "Dieu est bon. Il me voit.

J'aimerais également parler avec la femme chrétienne en Indonésie qui a subi des douleurs physiques depuis des années, ce qui a duré une opération après l'autre. Malgré son essai en cours, elle loue Dieu et lui donne la gloire en toutes choses. Voici quelqu'un qui a à la fois la patience et l'expérience dans la souffrance qui a l'espoir.

Ma foi et mon espoir sont grandement encouragés par les amis que je connais qui sont les vétérans de la guerre spirituelle. J'ai été témoin des nombreuses tribulations d'amis si fidèles et je connais leurs souffrances, leurs souffrances et leurs souffrances actuelles. Quand je les appelle, je demande : "Comment allez-vous?" Je connais la réponse à l'avance, et cela m'apporte beaucoup d'espoir.

Ils ne faussent pas leurs réponses. Ils sont totalement honnêtes quand ils disent : "David, je suis vraiment blessé. Parfois, la douleur me submerge. Parfois, je me blessais tellement, cela m'amène aux larmes."

Ces saints endurent les feux de l'affliction. Pourtant, il leur vient toujours un mot rassurant : «Dieu me fait avancer. Je sais qu'il est fidèle. Et je lui fais confiance. Je sais qu'il est avec moi." David Wilkerson