L'inquiètude

Comment vaincre l'inquiétude

"Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée (48 cm) à la durée de sa vie. Matthieu 6/27"

L'inquiétude, c'est : un tourment de l'esprit, de l'impatience, de l'agitation, de la fébrilité, du souci, de l'angoisse... C'est l'instabilité d'un cœur anxieux et insatisfait, et cela se traduit par de l'excitation et un manque de tranquillité, de paix et de repos. L'être intérieur déprime, subit un fort sentiment d'insécurité, de trouble et de peur qui provoque le chagrin, une profonde déception ...
d'où l'expression bien connue : "Se faire du mauvais sang... » ou encore : "Ce n'est plus une vie, c'est la mort à petit feu... ». Cet état alarmant déclenche très souvent des maladies psychosomatiques, très difficiles à soigner et à guérir, puisque la guérison du corps ne peut être envisagée qu'à partir de la guérison de l'âme et de l'esprit. Dans ce domaine moral, mental et spirituel, Dieu, le divin Créateur a envoyé l'Unique Spécialiste de la guérison de l'esprit, de l'âme et du corps humain : notre Seigneur Jésus, le Sauveur de l'humanité.

S'inquiéter, c'est douter, ne pas faire confiance : l'inquiétude, c'est un manque de foi. C'est un mauvais choix. S'inquiéter, c'est se mettre en prison, tant par les mauvaises pensées, que par des paroles qui confessent les craintes, les impossibilités et les aveux d'impuissance et d'incapacité.

Jésus mit en garde le chef de la synagogue qui venait d'apprendre le décès de sa fillette, contre le tourment et les ravages de l'angoisse et d'une cruelle déception, en lui conseillant ce choix : "Ne crains pas, crois seulement. Marc 5 / 36". Jaïrus choisit de faire confiance au Seigneur, qui ressuscita l'enfant !

Il y a trois choses que Jésus n'a jamais faites :
1. - Il ne s'est jamais inquiété : "Il dormait à la poupe sur le coussin. Ils le réveillèrent et lui dirent : Maître, ne t'inquiètes-tu pas de ce que nous périssons ? S'étant réveillé, Il tança le vent et dit à la mer : silence ! tais-toi ! Et le vent cessa, et il y eut un grand calme. Puis, Jésus leur dit : Pourquoi avez-vous ainsi peur ? Pourquoi n'avez-vous point de foi ? Marc 4 / 38-40".
2. - Il ne s'est jamais pressé : "Sitôt qu'Il eut appris que Lazare était malade, Il resta deux jours encore dans le lieu où Il était. Jean 11 / 6".
"Jésus étant arrivé, trouva que Lazare était déjà depuis quatre jours dans le sépulcre. Jean 11 / 17".
3. - Il n'a jamais douté du résultat : "Jésus dit au Père : Je te rends grâces de ce que tu m'as exaucé. Pour moi, je savais que tu m'exauces toujours. Jean 11 / 41-42".

- L'inquiétude est inutile : "Observez les corbeaux : ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n'ont ni cellier ni grenier, et Dieu les nourrit. Luc 12 / 24".
- L'inquiétude est superflue : "Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie? Si donc vous ne pouvez pas même la moindre chose, pourquoi vous inquiétez-vous du reste? Luc 12 / 25-26"
- L'inquiétude est incrédule : "Si Dieu habille ainsi l'herbe des champs, qui demain sera jetée au feu, à combien plus forte raison ne vous vêtira-t-il pas, gens de peu de foi. Luc 12 / 28"
- L'inquiétude peut tuer : "L'arche de Dieu a été prise. A peine eut-il fait mention de l'Arche de Dieu, qu'Eli tomba de son siège à la renverse et il mourut. 1 Samuel 4 / 18".
- L'inquiétude abat le cœur : "L'inquiétude dans le cœur de l'homme, l'abat. Mais une bonne parole le réjouit. Proverbes 12 / 25"
- L'inquiétude doit être bannie : "Ne vous inquiétez de rien, mais en toutes occasions, faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Philippiens 4 / 6"
- L'inquiétude est contagieuse : "Qui est-ce qui a peur et manque de courage ? Qu'il s'en aille et retourne chez lui, afin que ses frères ne se découragent pas comme lui. Deutéronome 20 / 8".

Jésus condamne l'inquiétude, la crainte, la peur, et nous appelle à compter sur Lui, à Lui demander son secours, car Il a promis de nous aider, de pourvoir à nos besoins, de nous inspirer pour nous défendre.

Pour guérir de l'inquiétude, de la crainte, de la peur et de l'angoisse, il faut :
- Ecouter et obéir à ses paroles.
- Croire en son amour et sa puissance.
- Chasser par Son Nom toute attaque de soucis, de doute et de stress.
- Mémoriser et confesser ce que Dieu dit, et ce qu'Il a promis.
- Enfin, prier, adorer pour demeurer dans la communion et la dépendance de Dieu. Alors, vous vivrez libres, heureux et vainqueurs.

Versets à retenir pour vaincre l'inquiétude :
1. "Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. Matthieu 6 / 34".
2 "Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous serez vêtus, la vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? Matthieu 6 / 25".
3. "Ne vous inquiétez pas de la manière dont vous vous défendrez, ni de ce que vous direz, car le Saint-Esprit vous enseignera à l'heure même ce qu'il faudra dire. Luc 12 / 11-12".
4. "Ne vous inquiétez de rien, mais en toutes choses, faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des actions de grâces. Et la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus-Christ. Philippiens 4 / 6-7".
5. "L'Eternel est ma lumière et mon salut, de qui aurais-je crainte ? L'Eternel est le soutien de ma vie : de qui aurais-je peur ? Psaume 27 / 1". Albert LEBLOND

Dieu veut vous rendre libre !

La prière qui change l’avenir !

"L’Éternel dit : J’ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Égypte, et j’ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs, car je connais ses douleurs." Exode 3.7

N’en doutez pas, ce peuple du Livre était aussi, même en exil, le peuple de la prière ! Ces cris auxquels le Seigneur fait allusion étaient peut-être des cris de souffrance dans un premier temps, mais très vite ils sont devenus des prières et des supplications. Quand on connaît l’histoire qui suit, on peut constater une chose : la prière change l’avenir ! Votre prière d’aujourd’hui a de l’influence sur demain !

L’avenir n’est écrit nulle part ; votre foi dans le Dieu qui vous aime, voilà ce qui va influencer votre avenir...

L’avenir est un grand sujet d’inquiétude chez l’être humain ; sans Dieu, les perspectives d’avenir sont effrayantes pour certaines personnes ! Voilà pourquoi quelques-uns vont chercher des réponses auprès des morts, dans les astres, dans l’occultisme. En vain ! N’attendez jamais rien de bon de votre horoscope !

Il faut que vous appreniez une chose : l’avenir n’est écrit nulle part ; votre foi dans le Dieu qui vous aime, voilà ce qui va influencer votre avenir, celui de votre famille, celui de votre entreprise ! Cessez de dépenser de l’énergie en soucis inutiles, priez ! Confiez à Dieu votre avenir, dites-lui votre inquiétude ; constatez la réalité du problème, mais cessez de vous décourager ! Dieu inventera de nouvelles bénédictions pour vous ; il saura changer le cours de la nature pour vous ; il ouvrira toutes les Mers Rouges qu’il faudra ouvrir pour vous !

Vous n’aurez aucune influence sur votre avenir si, au lieu de prier, vous choisissez de vous agiter. Alors arrêtez-vous, venez prier, crier votre douleur s’il le faut, et soyez spectateur de l’œuvre de Dieu dans votre vie !

Une prière pour aujourd’hui
Seigneur je prie afin d’influencer mon avenir ; je te laisse les clefs de mon futur ; tu es grand, et toi seul connais mon avenir ! Au nom de Jésus j’ai prié. Amen. Samuel Foucart

"J'ai déchargé son épaule du fardeau, et ses mains ont lâché la corbeille." Psaume 81:7

Cette parole concerne le patriarche Joseph, objet de tant de promesses et de tant de délivrances de la part de Dieu. Joseph fut chargé de la lourde responsabilité de nourrir tout le pays dé l'Egypte et de le sauver de la famine. Mais le Seigneur déclare: "J'ai déchargé son épaule du fardeau, et ses mains ont lâché la corbeille."

Avec quelle fraîcheur ces mots du psalmiste viennent à l'esprit de ceux qui ont à coeur les intérêts du Seigneur et qui portent leur part de responsabilité dans Son oeuvre Cette parole ne pousse pas à l'insouciance, ni à la superficialité, mais elle s'adresse à ceux qui suivent le même chemin que le patriarche, qui ne se dérobent pas aux souffrances de Christ, mais participent aujourd'hui à Ses combats, Ses victoires et Sa gloire. Elle est destinée à ceux qui se chargent de leurs responsabilités, accomplissent leur part dans le témoignage, obéissant à Dieu et se compromettant pour Lui dans le temps présent.

Il y a des fardeaux que Dieu ne nous demande pas de porter, des inquiétudes et des soucis inséparables à la vie, qui, si nous ne veillons pas, nous chargent et risquent de nous écraser. "J'ai déchargé son épaule du fardeau." C'est Lui qui le fait. Nous devons faire notre part de service, et de tout notre coeur; mais quand nous l'avons faite, nous pouvons nous décharger sur Lui de tous nos soucis. Nous avons besoin d'être libres pour porter le fardeau de Dieu, le fardeau des âmes et celui de la prière. Laissons-Lui tout le reste. Ainsi, nous trouvons le repos dans Son service sacré qui s'accomplit avec joie, au son des cantiques, dans l'inspiration de Sa présence, comme ce psaume nous le dit.

Oh, sachons travailler pour Dieu comme Il l'entend. Il nous charge, afin de nous apprendre à nous décharger sur Lui. Il nous rend responsables, afin de nous apprendre à rejeter sur Lui tout souci. Et notre service sera accompli avec joie: "Chantez avec allégresse à Dieu, notre force! Poussez des cris de joie vers le Dieu de Jacob! Entonnez des cantiques, faites résonner le tambourin, la harpe mélodieuse et le luth!" Psaume 81:2-3. Méditation biblique quotidienne par H.E. Alexander

Préoccupé par les inquiétudes

2 Corinthiens 2 : 14 Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l'odeur de sa connaissance !

Tout en combattant le bon combat de la foi, aujourd'hui, rappelez-vous ceci: c'est dans votre pensée que la bataille va se livrer. Tout ce que vous laissez captiver votre pensée va diriger votre vie. Est-ce que ce sera la Parole de Dieu ou les mensonges de Satan?
C'est votre décision.

Si vous voulez que ce soit la Parole qui règne, prenez la décision de résister au diable quand il viendra semer ses doutes en vous. Refusez de vous soumettre à la pression des circonstances qu'il met sur votre chemin. Décidez de prime abord que vous ne succomberez pas sous cette épreuve. Enfoncez bien vos talons et tenez-vous immuable sur les promesses de Dieu.

Quand des pensées contraires à la volonté de Dieu arrivent, détruisez-les. Et par-dessus tout, ne vous souciez de rien. Se faire du souci, c'est méditer les pensées de Satan.

Lorsque vous réalisez que vous vous faites du souci, arrêtez immédiatement. Remplacez les pensées de soucis, de craintes et de doutes par la Parole.

Assurément, Satan va essayer continuellement de vous dire que votre situation est sans espoir. Il va, avec persistance, colporter le doute, la défaite et le découragement. Mais si vous refusez d'acheter ses articles, sa commission sera nulle. Si vous n'achetez pas ses mensonges, il ne peut pas faire en sorte qu'ils s'accomplissent dans votre vie.

Dieu a promis qu'Il nous ferait toujours triompher en Christ. Vous avez la victoire garantie sur toute adversité à laquelle vous faites face aujourd'hui. Décidez tout de suite d'être un vainqueur, et vous répandrez la connaissance de la victoire en Christ partout où vous allez. - Kenneth et Gloria Copeland

"Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres." Jean 8.36

Le monde définit la liberté comme l’absence totale de contrainte. "Je fais et je dis tout ce que je veux, sans personne pour me commander." "J’ai blessé tout le monde sur mon passage, mais au moins, j’ai agi à ma guise." "J’ai cinq mariages brisés à mon actif, mais j’ai vécu comme je voulais." L’égoïsme absolu ! "J’ai joui de ma liberté."

L’amour parfait chasse toute trace de peur !
Cependant, la Bible affirme que le seul chemin vers la véritable liberté passe par Jésus : "Si donc c’est le Fils qui vous donne la liberté, alors vous serez vraiment des hommes libres" (Jean 8.36).

La vraie liberté consiste à être affranchi de la peur, de la culpabilité, de l’inquiétude, de l’amertume et de la mort. Vous n’avez plus besoin de faire semblant, parce que vous êtes libre d’être vous-même.

Comment vous débarrasser de ce type de peurs ? En laissant Dieu vous aimer ! L’apôtre Jean enseigne que "Dans un véritable amour, il n’y a pas de place pour la crainte car l’amour parfait chasse toute trace de peur" (1 Jean 4.18).

La prise de conscience de l’étendue de l’amour de Dieu est le début de la véritable liberté. En fait, reconnaître que "Dieu est amour", c’est l’adorer. Confesser qu’il est un Dieu aimant, plein de sollicitude, généreux et que nous pouvons demeurer dans son amour (1 Jean 4.16) est un acte d’adoration.

Une action pour aujourd'hui
Laissez Dieu vous aimer. Il a donné son fils Jésus pour vous afin que vous soyez réellement libre. Rick Warren

Les oiseaux du ciel

Que mangerons-nous? Une question quotidienne!

Jésus dit:
Ne soyez pas inquiets en vous demandant: «Qu’est-ce que nous allons manger? Avec quoi est-ce que nous allons nous habiller?» (…) Regardez les oiseaux. Ils ne sèment pas, ils ne moissonnent pas. Ils ne mettent pas de récoltes dans les greniers. Et votre Père qui est dans les cieux les nourrit! Vous valez beaucoup plus que les oiseaux!

Ne soyez pas inquiets en vous demandant: «Qu’est-ce que nous allons manger? Qu’est-ce que nous allons boire?...»
En effet, les gens qui ne connaissent pas Dieu cherchent tout cela sans arrêt. Vous avez besoin de toutes ces choses, et votre Père qui est dans les cieux le sait bien.

Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et ce que Dieu demande. Il vous donnera tout le reste en plus. Extraits de Matthieu 6.19-34

Voici que Jésus nous dit que cette interrogation et les autres sont pour ceux qui ne connaissent pas Dieu! Il ne dit pas qu’elles sont mauvaises, mais qu’elles ne peuvent devenir prioritaires. Il ne dit pas non plus qu’il ne faut pas s’occuper de ces choses car les oiseaux du ciel dont il parle ne se contentent pas d’ouvrir le bec pour que la nourriture tombe dedans! Ne pas s’inquiéter ne veut pas dire être insouciant. L’apôtre Paul le rappellera:«Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas.» (1)

Mieux que la Sécurité Sociale
Nous sommes si facilement soucieux du lendemain! Et pourtant, nous sommes beaucoup mieux à l’abri de ses vicissitudes que nos ancêtres les Gaulois, et même que nos grands parents ou nos arrière-grands-parents. Si notre Sécurité Sociale, pas encore centenaire, n’est pas la panacée et s’il reste des pans qu’elle est incapable de couvrir, que de progrès réalisés! Cela n’empêche pas pour autant nombre d’inquiétudes, aussi tenaces que le lierre sur nos arbres. La rouille, notre courte vue, la domination de l’argent ... font de sérieux ravages dans l’histoire des humains.

Et voici que soudain, sur la pente où nous commencions à glisser, retentit comme un coup de clairon cette parole de Jésus: «Ne vous inquiétez pas». Un ordre qu’il répète.

Il est vrai que l’inquiétude est comme chevillée à notre être. Par son insistance, Jésus veut nous faire sortir de ces sombres tunnels et nous faire émerger dans son Royaume de lumière où tout cela est donné en plus, non pas comme un petit complément, mais comme des bienfaits infiniment meilleurs que tout ce qu’on peut imaginer.

«Vous valez beaucoup plus que les oiseaux» dit le Christ. Alors, entendons-le bien: «Cherchez d’abord le Royaume de Dieu et ce que Dieu demande. Il vous donnera tout le reste en plus.» André Thobois

1. 2 Thessaloniciens 3.10

Dieu fait tomber les murs !

"Il a renversé le mur de séparation." Éphésiens 2.14

Parfois des murs sont si hauts que vous vous demandez s’ils tomberont un jour. Des personnes vivent avec un lourd secret, véritable rempart de honte. Elles gardent le sourire, font comme si tout allait bien, mais une tristesse remplit leur cœur. Des couples passent par de graves problèmes relationnels, une barrière de séparation s’est dressée au fil des années. Plus le temps passe, et plus la cloison devient haute et épaisse. Pour d’autres c’est une paroi entre eux et leurs enfants qui s’est érigée, vraie clôture de silence et d’éloignement. Toutes ces murailles produisent honte, inquiétude, tristesse et amertume.

Dans son amour, Dieu inclinera les cœurs et renversera les obstacles.
Face à ces murs, des gens pratiqueront le déni, comme s’il n’y avait pas de cloison entre eux et leurs époux(se), leurs adolescents ou Dieu. Devez-vous rester insensible devant vos enfants qui s’éloignent de Dieu ? Devant une relation maritale qui bat de l’aile ? Non, refusez le déni ! L’Éternel désire vous secourir, étendre sa main pour renverser les barrières. Oui, son désir est de vous secourir dans vos afflictions.

Dieu va agir avec sagesse, par conséquent comprenez qu’il ne travaillera pas contre sa loi divine. Vous ne pouvez pas demander des choses au Seigneur qui soient contraires à ses principes pour faire tomber vos murs : "Seigneur, mon patron est pénible ! Pourrais-tu lui donner une crise cardiaque ?" Ou bien : "Jésus, ma femme est si dure dans ses paroles, pourrais-tu lui coudre la bouche ?" Ou encore : "Mon Dieu, j’ai un voisin pénible, pourrais-tu lui envoyer un ange musclé pour l’intimider ?"

Sachez que pour que vos murs s'écroulent, Dieu n’agira jamais contre sa personnalité, mais il œuvrera avec sagesse pour votre bien. Dans son amour, il inclinera les cœurs et renversera les obstacles.

Chaque jour, des murailles s’écroulent ! Je ne sais pas quand la vôtre tombera, mais ayez foi en Dieu. Ne vous endurcissez pas, mais restez humble et sensible au dessein de Dieu pour votre vie, car aucun mur n’est trop haut pour lui !

Une prière pour aujourd’hui
Père, je viens devant le trône de grâce en te présentant ces murs de honte, d’inquiétude et d’amertume. Montre-moi la voie que je dois suivre, et dans ton amour fais tomber ces murailles de tristesse. Amen. Patrice Martorano

Remets ton sort à l’Éternel, et il te soutiendra, {Psaume 55:22}

Le souci, même entretenu pour des raisons légitimes, s’il est alimenté à l’excès, a dans sa nature le péché. La règle pour éviter l’inquiétude anxieuse est instamment recommandée par notre Sauveur, rappelée encore et encore ; elle est réitérée par les apôtres ; et elle est une règle qui ne peut pas être négligée sans déboucher sur la transgression : car l’essence même de l’inquiétude anxieuse est d’imaginer que nous sommes plus sages que Dieu, et de placer la confiance en nous-mêmes au lieu de la placer en celui qui a entrepris d’agir pour nous.

Nous essayons de penser que ce que nous imaginons, lui l’oubliera ; nous œuvrons à prendre sur nous-mêmes notre fardeau de lassitude, comme s’il était incapable ou ne voulait pas le prendre pour nous.

Maintenant cette désobéissance à cette règle évidente, cette incrédulité à sa parole, cette présomption de vouloir empiéter sur son terrain, est totalement coupable. Encore plus que ceci, l’inquiétude anxieuse conduit souvent à des actes de péché. Celui qui ne peut pas calmement déposer ses affaires dans la main de Dieu, mais qui veut porter son propre fardeau, sera très probablement tenté d’employer des moyens erronés pour s’en sortir.

Ce péché conduit à l’abandon de Dieu comme notre conseiller, et à avoir recours à la sagesse humaine par substitution. Ceci équivaut à « aller vers les citernes crevassées », au lieu de la « source », un péché qui était retenu contre Israël autrefois.

L’anxiété nous fait douter de la bonté de Dieu, et ainsi notre amour pour lui se refroidit ; nous éprouvons de la méfiance, et ainsi nous attristons l’Esprit de Dieu. Ainsi le manque de confiance en Dieu conduit à nous égarer loin de lui ; mais si à travers la simple foi dans sa promesse nous rejetons chaque fardeau qui nous vient, sur lui, et « ne nous inquiétons de rien » parce qu’il entreprend de prendre soin de nous, cela nous gardera près de lui, et nous fortifiera contre la tentation.

Tu garderas dans une parfaite paix celui dont l’Esprit repose sur toi, parce qu’il se confie en toi. Ch. Spurgeon

Cessez de vous inquiéter !

"Ne vous inquiétez de rien ; mais, en toutes choses, par la prière et la supplication, avec des actions de grâces, faites connaître à Dieu vos demandes. Et la paix de Dieu […] gardera vos cœurs et vos pensées en Christ-Jésus." Philippiens 4.6-8

L’inquiétude – un sentiment de malaise ou de trouble – est un fléau qui semble toucher des milliers de personnes aujourd’hui. Il est dans la nature humaine de se faire du souci face à des situations difficiles dans le monde ou dans sa vie personnelle, mais si nous n’y prenons pas garde, le diable fera tout pour nous amener à nous inquiéter plus que de raison. L’inquiétude est comme un rocking-chair – toujours en mouvement mais sans jamais nous mener nulle part. Alors pourquoi y cédons-nous… et quel bien en retirons-nous ?
Lorsque vous êtes inquiet et tendu, il est toujours préférable de prier au sujet de ce qui vous préoccupe plutôt que d’en parler à autrui.
L’inquiétude nous épuise physiquement et pourtant nombreuses sont les personnes qui persistent à se faire du souci au lieu de se tourner vers Dieu dans la prière. La prière est une force puissante et une de nos meilleures armes contre l’inquiétude. Elle nous fait entrer dans la présence même du Dieu tout-puissant.

Lorsque vous êtes inquiet et tendu, il est toujours préférable de prier au sujet de ce qui vous préoccupe plutôt que d’en parler à autrui. Jésus a passé beaucoup de temps dans la prière durant sa vie sur terre, nous montrant l’exemple d’une vie réussie.

Nous lisons dans Luc 5.15-16 : "… les foules nombreuses se rassemblaient pour l’entendre et pour être guéries de leurs maladies. Mais lui se retirait dans les déserts et priait." Si Jésus avait besoin de passer du temps dans la prière pour accomplir sa vocation, je pense pouvoir affirmer que c’est également le cas pour nous.

Jésus avait tout remis à Dieu, jusqu’à sa réputation et sa vie. Et parce que nous savons que Dieu nous aime et ne veut que le meilleur pour nous, nous pouvons sans crainte lui confier nos vies. Nous n’avons pas besoin de lui expliquer tous nos problèmes – nous pouvons simplement les lui remettre et lui demander de s’occuper de toutes choses.

Trop souvent, nous compliquons nos prières – et diminuons leur efficacité. Il est temps que cela change ! Lorsque nous nous inquiétons et nous tourmentons pour trouver une meilleure solution, il nous faut savoir que seul Dieu sait ce qui est le meilleur pour nous.

Dans Matthieu 11.29, Jésus lance cette invitation : "Acceptez de vous laisser diriger par moi et mettez-vous à mon école […] Ainsi, votre vie trouvera son épanouissement dans le repos." (Parole vivante) Quelle promesse merveilleuse ! Le Maître de l’univers aspire à passer du temps avec vous et à vous libérer de l’habitude destructrice de l’inquiétude.

Une action pour aujourd'hui
Si vous avez pris l’habitude de vous inquiéter pour pratiquement tout – votre santé, vos finances, votre couple, vos enfants, votre travail, vos beaux-parents, vos voisins – il est temps de changer. Vous n’avez pas besoin de vous tracasser une minute de plus. Tout ce que vous avez à faire, c’est renoncer à vous faire du souci et avoir foi en la prière simple, confiante – elle est un remède infaillible à l’inquiétude ! Joyce Meyer

Merci pour ce message si vrai. :Bless you A:

L’INQUIÉTUDE PRODUIT L’INCRÉDULITÉ

Ne vous inquiétez pas pour votre vie, de ce que vous mangerez ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. Matthieu 6:25

Jésus regarde comme un manque de Foi, les soucis dictés par le bon sens commun. Si nous avons reçu le Saint-Esprit de Dieu, il nous sonde et nous interpelle : « Que fais-tu de Dieu dans cette nouvelle amitié, dans ces plans pour tes vacances, dans ces livres nouveaux que tu as achetés ? » Il insiste jusqu’à ce que nous apprenions à le mettre, Lui, à la première place. Partout où nous mettons quoi que ce soit d’autre avant Lui, c’est la confusion.

« Ne vous inquiétez pas… », ne prenez pas sur vous le souci de tout prévoir. Se tracasser n’est pas seulement une erreur, c’est une infidélité.

Nos soucis semblent dire que Dieu n’est pas capable de s’occuper des petits détails de notre vie, et ce sont les petites choses qui nous causent le plus de tracas.

Avez-vous jamais remarqué ce que Jésus dit dans la parabole du semeur ? Qu’est-ce qui étouffe la semence ? Le diable ? Non ! Mais les « soucis de ce monde », toujours les petits tracas de la vie. Je ne veux pas croire ce que je ne vois pas, c’est là le germe de toute incrédulité. Le seul remède à l’infidélité est l’obéissance à l’Esprit.

Ce que Jésus réclame avant tout de ses disciples, c’est l’abandon. O. Chambers

"Le soir de ce jour, qui était le premier de la semaine, les portes du lieu où se trouvaient les disciples étant fermées, à cause de la crainte qu'ils avaient des Juifs, Jésus vint, Se présenta au milieu d'eux, et leur dit: La paix soit avec vous!" Jean 20:19

Les disciples avaient derrière eux toute la terreur de Golgotha; ils souffraient du vide tragique causé par l'absence de leur Maître qui leur avait été arraché par des mains ignobles. A leurs oreilles résonnait encore le cri troublant: "Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M'as-Tu abandonné?" Malgré le témoignage des femmes et des disciples d'Emmaüs, ils étaient en proie aux larmes, à l'incrédulité... luttes au dedans, craintes au-dehors... Et quant à l'avenir, ils n'osaient y penser, car l'endurcissement de leur coeur les empêchait encore de comprendre les Ecritures. Mais voici, malgré les portes fermées, Jésus Se présente soudain au milieu d'eux, et leur dit: "La paix soit avec vous!"

Tel est pour eux et pour nous le premier message de la résurrection! Comment voulons-nous pouvoir faire face à la vie, honorer le Nom que nous portons, quand notre coeur est rempli de trouble, de soucis, d'inquiétudes et de craintes pour l'avenir? Quand il en est ainsi, nous ne pouvons vivre en enfants de la lumière, en témoins de la résurrection. Confessons donc à Dieu ce qui en est de nous-mêmes.

N'oublions pas que si nous ne pouvons nous comparer aux apôtres, d'autre part il y a cependant une grande ressemblance entre eux et nous dans leur difficulté de saisir, après la résurrection, les privilèges spirituels qui leur étaient destinés.

Comme eux, nous avons vécu près du Seigneur, nous avons connu Son secours, nous avons professé Lui être consacrés. Mais en réalité, nous vivons comme s'Il n'était pas véritablement ressuscité et comme si la puissance de Sa résurrection n'était pas à notre disposition. Et pourtant le Seigneur est là, Il attend, Lui, le Ressuscité, que nous nous laissions aider, délivrer et secourir.

Cette paix a été donnée aux disciples quand Jésus leur a montré Ses mains et Son côté; elle émane directement de Ses meurtrissures, en puissance et inspiration pour notre service. Laissons donc Sa paix divine nous pénétrer et envelopper tout notre être! Méditation biblique quotidienne par H.E. Alexander

Merci Josy pour cette belle étude si profonde.

Avec toute mon amitié.

Pourquoi vous inquiéter ?

"Si Dieu revêt ainsi l’herbe des champs, qui existe aujourd’hui et qui demain sera jetée au four, ne vous vêtira-t-il pas à plus forte raison, gens de peu de foi ?" Matthieu 6.30

Avez-vous tendance à attendre le pire ? Paniquez-vous lorsque vous recevez une lettre du fisc ou qu’il court une rumeur de licenciement sur votre lieu de travail ?

L’inquiétude n’est pas naturelle. Vous n’êtes pas inquiet de naissance...

Le verbe qui veut dire "s’inquiéter" en anglais vient d’un mot du vieil anglais qui veut dire "étouffer, étrangler". C’est exactement l’effet de l’inquiétude sur votre productivité et votre bonheur. Elle est contre-productive et vous fait perdre votre temps.

Dans son célèbre Sermon sur la Montagne (Matthieu 6.25-34), Jésus nous donne quatre raisons de ne pas céder à l’inquiétude, et les secrets pour la surmonter.

1. L’inquiétude est déraisonnable. Il est inutile de vous inquiéter pour ce que vous ne pouvez pas changer. Et il est insensé de vous tourmenter pour ce que vous pouvez changer ! De plus, chaque fois que vous repassez un souci dans votre esprit, il ne fait que prendre de l’ampleur. L’inquiétude grossit les problèmes hors de toute proportion.

2. L’inquiétude n’est pas naturelle. Vous n’êtes pas inquiet de naissance. C’est une réponse apprise de la vie. En fait, elle exige une certaine pratique. Heureusement, elle peut être désapprise. Dans toute la création divine, les êtres humains sont les seuls à s’inquiéter. Nous ne pensons pas que Dieu prendra soin de nous.

3. L’inquiétude est vaine. Elle ne sert à rien. Elle est impuissante à changer le passé ; elle ne peut pas contrôler l’avenir ; elle ne peut que vous rendre malheureux aujourd’hui. S’inquiéter pour un problème ne le résout jamais.

4. L’inquiétude est inutile. Dieu a promis de prendre soin de vous si vous lui confiez les détails de votre vie. Quand vous étiez enfant, si vous demandiez à votre père de l’argent pour vous acheter à manger, vous ne vous inquiétiez jamais de savoir où il trouverait cet argent. C’était son problème. Laissez Dieu être Dieu dans votre vie ! "Dieu prendra soin de vous, ayez simplement la foi."

Comment puis-je me défaire de cette habitude ?

Premièrement, faites confiance à Dieu pour tous les domaines de votre vie. "Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus" (Matthieu 6.32). Deuxièmement, vivez un jour à la fois : "Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine" (Matthieu 6.34).

Une action pour aujourd’hui
Dieu vous aime et il n’aime pas vous voir inquiet. Appuyez-vous sur sa Parole et confiez-lui entièrement votre avenir. Il est omniscient et il ne vous abandonnera pas. Rick Warren

Ne vous inquiétez d’aucune chose, mais en toutes occasions, exposez vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, laquelle surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos esprits en Jésus-Christ. {Philippiens 4:6,7}

Pas de soucis, mais des prières. Pas d’inquiétude, mais une joyeuse communion avec Dieu. Faites connaître vos besoins et vos désirs au Dieu de votre vie, au gardien de votre âme. Apportez-les lui avec une double mesure de prières et de ferventes louanges. Pas de doute, mais de la reconnaissance dans votre prière. Considérons que nos demandes sont exaucées par le Seigneur et bénissons-l’en. Il nous accorde cette grâce ; donnons-lui nos louanges. Ne tolérez pas qu’aucun besoin inavoué vienne ronger votre cœur. Faites-les tous connaître à Dieu. Recourez, non à l’homme, mais à Dieu seul, le Père de Jésus, qui vous aime en lui.

Ainsi vous trouverez la paix. Vous pourrez ne pas comprendre comment vous jouissez de cette paix, mais elle vous entourera et vous remplira. Votre cœur et votre esprit seront plongés par Jésus-Christ dans un océan de paix et de repos. Vienne la vie ou la mort, la pauvreté, la souffrance ou la persécution, vous demeurerez en Jésus à l’abri de tout vent, au-dessus de tout nuage menaçant. Obéissons donc à cette gracieuse invitation de Dieu.

Oui, Seigneur, je crois ; mais je t’en supplie, aide-moi dans mon incrédulité ! Ch. Spurgeon

N’OFFENSEZ PAS LE SEIGNEUR

Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe. Jean 14:9

Le Seigneur doit être bien souvent étonné de voir combien nous avons l’esprit compliqué ! Ce sont nos préjugés qui nous rendent ainsi. Quand nous restons simples, loin d’être stupides, nous y voyons clair. Philippe attendait la révélation d’un profond et prodigieux mystère, mais pas par son maître qu’il connaissait trop bien.

Nous attendons le mystère de Dieu pour plus tard, au milieu de quelque cataclysme ; en réalité il est là. Nous avons peut-être la volonté d’obéir à Jésus, mais il est probable que nous lui faisons de la peine par nos questions. « Seigneur, montre-nous le Père ! » Sa réponse nous arrive aussitôt : « Il est ici, toujours ici, ou nulle part. » Nous nous attendons à ce que Dieu se manifeste à ses enfants, mais Dieu se manifeste dans ses enfants. Les gens de l’entourage sont témoins de cette manifestation, mais l’enfant de Dieu lui-même ne s’en aperçoit pas.

Nous voudrions saisir Dieu par notre intelligence. Mais nous ne pouvons pas plus le saisir, que nous ne pouvons saisir notre propre être intérieur. Si nous demandons à Dieu de nous donner des révélations extraordinaires, nous l’offensons. Les questions mêmes que nous posons blessent Jésus, parce qu’elles n’ont rien de la simplicité d’un enfant.

« Que votre cœur ne se trouble pas », dit Jésus — vais-je maintenant l’offenser en laissant mon cœur se troubler ? Si je crois en Jésus, ma vie est-elle conforme à ma foi ? Mon cœur s’agite-t-il ? Est-ce que je me pose des questions morbides ? Je dois m’habituer à prendre tout comme venant de Dieu.

Dieu ne veut pas nous guider plus tard, mais maintenant. Sachez que le Seigneur est ici présent, et soyez immédiatement affranchis de toute inquiétude. O. Chambers

“Arrêtez, et reconnaissez que je suis Dieu” Psaume 46.11

Le psaume 46 verset 10 est un magnifique passage des Écritures que nous pouvons associer quotidiennement à nos prières.

Détendez-vous une minute et laissez Dieu agir !

Recherchez et lisez ce passage avant toute prise de décision. Vous serez étonné de la perspicacité dont vous bénéficierez en vous attendant à Dieu, au lieu de vous efforcer à trouver des solutions tout seul.

Ne réagissez pas constamment sur une première impulsion. Pensez plutôt à ce que Dieu attendrait de vous et rappelez-vous qu’il est aux commandes. Vous verrez ainsi sa main agir dans n’importe quelle situation, si vous prenez du recul et comprenez qu'il s'agit de son plan et non du vôtre.

Si vous êtes dans la confusion, dans l’inquiétude, que vous n’avez pas la moindre idée de ce que vous pourriez faire, détendez-vous une minute et laissez Dieu agir. Ne laissez pas l’inquiétude ou la panique guider vos décisions, alors que Dieu est là pour vous aider.

Une prière pour aujourd’hui
Mon Dieu, merci de rester aux commandes, y compris lorsque je suis en proie au stress et à l’inquiétude. Donne-moi ta sagesse surnaturelle pour prendre des décisions qui t’honoreront et qui seront pour mon bien. Au nom de Jésus, Amen. Joël Osteen

Bien-aimés,

Il serait tout aussi impossible de ne s’inquiéter d’aucune chose, que de se réjouir toujours, si l’Évangile n’offrait constamment les moyens et les remèdes.
« Notre devoir est de prendre soin de notre diligence, ce qui est en accord avec une sage prévision et une inquiétude normale ; mais un souci dans la peur et la méfiance est à la fois un péché et une folie, et ne peut qu’embarrasser et distraire l’esprit. Comme remède à une anxiété embarrassante, la prière constante est recommandée. Non seulement dans le temps imparti pour la prière, mais en toute chose, car tout doit être accompli avec l’aide de la prière. » Henry
Des actions de grâce devraient toujours accompagner les demandes, car la louange est toujours due à Dieu, et la foi est vivifiée par la pensée de ce qu’il a déjà accompli.

Que cette semaine vous soit richement béni par la grâce de Dieu !
Affectueusement à vous, Josy

Je serai avec toi : je ne te laisserai point et je ne t’abandonnerai point. {#Jos 1:5}

Cette parole à Josué est souvent citée : c’est celle qui est rapportée dans le Nouveau Testament en ces termes : « Lui-même a dit : je ne te laisserai point, je ne t’abandonnerai point. » Hé 13:5

Bien-aimés, nous avons devant nous une vie de combats ; mais l’Éternel des armées est avec nous. Avons-nous à conduire un peuple nombreux et inconstant ? Cette promesse nous garantit toute la sagesse et la prudence requises ; à lutter contre des ennemis rusés et puissants ? Voici la force, la vaillance et la victoire ; ou un héritage étendu à conquérir ? Nous avons le gage de la réussite de notre entreprise. L’Éternel lui-même est avec nous.

Ce serait une calamité si l’Éternel pouvait nous manquer ; mais comme c’est une chose impossible, le souffle de l’inquiétude sera arrêté par le rempart de la fidélité divine. En aucune occasion le Seigneur ne nous abandonnera. Arrive que pourra, il sera à nos côtés. Nos amis nous échappent et leur secours est une ondée d’avril ; mais Dieu est fidèle, Jésus est le même éternellement et le Saint-Esprit demeure en nous.

Ainsi, mon cœur, sois calme et confiant ; si les nuages s’amassent, le Seigneur peut les dissiper. Si Dieu ne peut me manquer, ma foi ne faiblira pas non plus ; s’il ne m’abandonne pas, pourrais-je moi l’abandonner ? Que ma foi soit donc paisible. Ch. Spurgeon